lundi, juin 26, 2017

26.06.17, magistrats, banque, vieille dame, complicité,




Le lundi 26 juin 2017


Internet du 26 juin 2017 fait paraitre un article reproduit ci-après concernant la spoliation d’une vieille dame par son banquier.

Toute l’analyse se construit sous réserve de la véracité des faits rapportés.


Partie une : L’article

1)- Les faits :
1- Un banquier de 27 ans de l’agence LCL à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) a détourné, entre mars et décembre 2016, 380.000 euros de l'assurance vie d’une cliente âgée de 89 ans.
2- L'enquête a démarré après un signalement du directeur de l'agence qui s'inquiétait d'un changement d'adresse de la victime.
3- Contactée par la banque, la cliente qui n'avait jamais changé d'adresse, avait alors déposé plainte.
4- Il s'est avéré que cette fausse adresse correspondait en réalité à un appartement appartenant au banquier.
5- Deux appartements achetés avec l'argent détourné, et 36.000 euros de lingots d'or.
6- L’action judiciaire
a- Placement sous contrôle judiciaire du voleur,
b- Jugement pour « escroquerie »
c- éléments favorables :
L’avocat : "Son casier judiciaire est vierge et il a reconnu les faits à la première seconde de sa garde à vue".
L’article : Il a immédiatement reconnu les faits
7- Argument de défense principal : le racisme de la victime
a- Avocat :
"Plusieurs éléments se sont ligués", a ajouté l'avocat: "une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans".
b- C’est un martyr de la société française.
8- Défense médiatique :
a- La cliente est raciste
b- Le banquier « craque » devant ce racisme
c- C’est pour se « venger de sa cliente raciste », « indiqué par plusieurs sources concordantes », c'est-à-dire nombreuses et par conséquent dignes de foi, que le banquier attaque.
d- Il veut aussi pousser un « coup de gueule » contre son employeur pour son manque de considération.
Tout le monde, français, le maltraite.
f- A 27 ans, ce banquier est encore qualifié de « jeunes » autrement dit de victime de la société, de la discrimination, du racisme, etc.

2)- Les qualifications visibles
Sans rien connaitre au droit on peut remarquer les fautes qui suivent :
1- Action criminelle volontaire et préméditée
2- Agression d’une personne vulnérables dont il a la responsabilité en ce qui concerne son portefeuille bancaire.
3- Agression en raison de l’âge et de la race de la victime.
4- Escroquerie organisée.
5- Militantisme dans la distinction entre les français, dont la distinction entre musulmans et les autres.
a- Le fait qu’il implique sa famille indique qu’il est vraiment dans l’opposition de populations.
b- C’est le propre de l’inscription dans la filière terroriste.
6- L’imbécilité des accusations de racisme traumatisant portées par ce criminel de 27 ans contre une victime de 89 ans est un outrage à l’égard de celle-ci mais aussi un outrage au tribunal.

3)- L’action judiciaire
A- La moralité
Il serait fait crédit au criminel d’avoir :
1- Spontanément reconnu les faits à la première seconde de la Garde à vue » selon son avocat.
2- Un casier judiciaire vierge.
3- En conséquence, il ne va pas en détention provisoire.
4- Selon l’article, la justice aurait reconnu le caractère exemplaire de la conduite du fautif au point de lui faire confiance pour ne pas faire pression sur la plaignante.
Or, il la hait au point de lui voler toute sa fortune du fait, dit-il, de cette haine.
5- Cette liberté garantit pratiquement à l’accusé un sursis sinon complet au moins maximum.

B- L’unique qualification
La justice ne retiendrait que la seule qualification d’« l’escroquerie ».

C- La justice ne retiendrait pas l’âge de la victime et donc sa totale vulnérabilité.
D- Or, le signalement du Directeur prouve deux choses :
1- La totale dépendance de la victime à l’égard du personnel de la Banque, dont son spoliateur. Elle n’était pas en capacité de gérer elle-même ses comptes ou de participer à leur gestion. Elle devait s’en remettre totalement à la banque, dont ce voleur.
2- La connaissance de cette qualité de vulnérabilité par le personnel puisque le Directeur a été étonné d’un changement d’adresse sans action spécifique de la cliente.

E- La justice ne retient pas la qualification d’une agression en raison de la race de la personne lésée.
Or, l’argument principal du criminel est de dire qu’il a commis ce crime en raison de sa race et de sa religion et de la race et de la religion de sa proie.

F- En refusant la détention provisoire et en ne retenant que la seule qualification « d’escroquerie », la justice montre qu’elle retient comme des éléments de bonne présentation du justiciable, le fait qu’il ait reconnu spontanément les faits et qu’il n’ait pas de casier judiciaire.
1- Il faut en effet un certain âge pour s’introduire dans les lieux où passent 400 000 euros à disposition.
Même un voleur à la tire à connu le « casier judiciaire vierge ».
2- Il est inexact de dire qu’il reconnait les faits puisqu’il ne reconnait pas sa culpabilité envers sa proie.
3- Par cette reconnaissance spontanée des faits, le criminel s’autorise à les fabriquer en partie.
En effet, il sépare les faits financiers des faits de détermination d’une proie et d’agression envers celle-ci.
4- Une vraie « escroquerie » aurait consisté à escroquer la banque.
5- Là, ce criminel choisit une personne qu’il détermine comme proie et la pille en raison de sa vulnérabilité et de la confiance qu’elle lui a faite.
6- La reconnaissance des faits retenue par les magistrats s’oppose à l’affirmation publique des faits revendiquée par le criminel.
7- Il ne dit pas qu’il a voulu s’enrichir mais punir.
8- Si l’information est exacte, la justice sert fort obligeamment la soupe de l’enrichissement et fait l’impasse sur la punition.
9- Ce faisant, elle suit le voyou dans son entreprise de disqualification morale de la proie et de son élimination judiciaire.
10- Si le Tribunal accepte cette manœuvre, ce ne sera pas un jugement mais un adoubement.

Partie 2 : Réflexion



4)- Le retour du même
Par expérience, je pensais que le soutien apporté par les magistrats, toute hiérarchie confondue, aux agressions commises par des voyous migrants contre des personnes handicapées et vulnérables en dessous du seuil pauvreté ne venait que de cette qualité de pauvre.

Les handicapés et vulnérables pauvres servent de viande de transaction entre l’Etat et les voyous auxquels il veut confier un rôle dans l’ordre public.

Le grand public connait la famille Luhaka de l’affaire Théo d’Aulnay-Sous-Bois.
a- Cette famille aurait détourné 370.000 euros des 700.000 euros donnés par l’Etat aux fins qu’ils assurent l’ordre public à Aulnay. Ils ont eu aussi en charge un quartier de Paris. Le franchissement du Périphérique n’est pas difficile pour tous les banlieusards.
b- Le parquet dispose d’un dossier auquel, selon le Maire d’Aulnay, il ne donne toujours pas suite.

Avec l’affaire Jukic, j’ai vécu la même politique d’installation des voyous en lieu est place d’une famille d’handicapés et personnes vulnérables. Les magistrats ont tout couvert et ont délibérément pris le risque certain de la mort de ces personnes.

Je connais un peu le sujet.

5)- La généralité
L’article nous indique que l’action du Tribunal de Bobigny inscrirait l’exploitation des personnes vulnérables comme lieu de négociations entre la criminalité fondée sur une base ethnicoreligieuse et l’Etat à l’égard de toutes les personnes vulnérables.

La faiblesse, la vulnérabilité, le handicap, seraient alors pris comme un bloc de qualités particulières.
Ce bloc est distinct des considérations sociales.
Que les personnes concernées soient riches ou pauvres leur vulnérabilité les places en instrument de négociation de la place des criminels dans notre société.

6)- L’accompagnement
En se réclamant immédiatement d’une définition ethnico-religieuse de son crime, ce criminel s’inscrit dans cette jurisprudence et demande à la justice d’acter que s’il est allé trop loin dans sa prédation, il n’en avait pas moins des motifs plausibles, légaux, moraux, d’agir.

C’est ce que serait en train de faire la justice si on en croit la presse.

Ce qui compte dans ce débat judiciaire est la reconnaissance du bien-fondé de la prédation de français vulnérables par les criminels se réclamant d’une certaine race et de la religion « musulmane ».

De là, il s’établit un droit semblable à celui issu de Mai68 et que Georges Pompidou, dans le Nœud Gordien, caractérise comme étant le droit du « ôte-toi de là que je m’y mette ».

Après le début en 2015 des Attentats continus qui ont motivé un Etat d’urgence permanent ; il n’est pas possible de considérer comme dépourvu de conséquences que la justice continue imperturbablement de distinguer la piraterie civile du Terrorisme guerrier qui se revendique de la même filiation ethnico-religieuse.

La revendication du criminel civil d’Aubervilliers d’une riposte au « racisme » d’une femme de 90 ans est identique à celle :
a- Des criminels guerriers de Charlie-Hebdo qui se revendiquaient du « racisme » des Caricatures,
b- Du « racisme » des juifs pour le Casher,
c- Du « racisme » antibanlieusard des « blancs » de Paris pour le Bataclan,
d- Du « racisme » de la discrimination scolaire, pour les destructions d’écoles, de crèches, de gymnase de Pharmacie, etc.

L’accompagnement
a- En refusant de prendre en compte au premier chef, la vulnérabilité, les responsabilités de l’employé envers sa victime, la préméditation, le racisme de sa démarche, l’outrage de ses mensonges,
b- En retenant comme probante la reconnaissance immédiate des faits par le criminel et la virginité de son casier judiciaire,
c- La justice se place à nouveau, comme toujours, dans une position d’accompagnement des criminalités ayant un fondement ethnicoreligieux.

Ces criminels attaquent et déposent les armes dès qu’ils sont pris en plaidant le martyr, la bonne foi et la bonne conduite à venir.

En même temps, ils obtiennent une juridicisation de leurs combats. La justice leur fournit l’encadrement juridique qui convient pour pousser leur action de domination chaque fois un peu plus loin.

Si les informations de cet article sont exactes ; les personnes de tel race et de religion islamique sont en train d’acquérir un droit de cuissage diffamatoire et judiciaire à l’égard des français.
a- Ils déterminent et disposent de la moralité et de la parole des personnes qu’ils visent pour leurs actions.
b- Ils disposent d’un vocabulaire ayant force de loi leur permettant d’agir pour sauver leur vie, au moins leur vie morale, face aux agressions « racistes ».

La justice accompagne la formation de ce droit à disposer des français en lui fixant deux règles :
a- Ne pas se faire prendre.
Par exemple :
Il suffit dans ce cas de parvenir à former des banques avec un personnel qui ne s’inquiète pas des changements d’adresses des personnes vulnérables.
b- Reconnaitre les appareils de droit français comme étant les seuls existants.
Cet homme à la même démarche que les radicalisés qui comparaissent. Ils expliquent qu’ils sont discriminés mais qu’ils se plieront aux exigences de déradicalisation de la justice.
Le temps de sortir de prison et d’égorger un prêtre.

Cet accusé a délibérément considéré une dame de 89 ans qui lui faisait confiance comme une proie facile.

Il ressortira du procès auréolé d’avoir :
1- consolidé la reconnaissance par les tribunaux de la race et de la religion comme des qualités distinctives.
2- Contribué à doter les « musulmans » d’une capacité à dire le droit, la criminalité des français à leur encontre, et à agir pour prévenir les effets de cette criminalité consubstantielle aux français.

Le rôle de la justice serait simplement de juger si la décision de punition a été la bonne.

Dans ce cas, il faudrait prendre en considération que cette femme a excité le « jeune » et, circonstance aggravante pour elle, si elle était morte plus tôt elle n’aurait pas été l’élément déclencheur de sa « vengeance », il n’aurait pas perdu sa place et il ne serait pas jugé.

On peut dire sans risque de se tromper qu’elle lui doit des dommages et intérêts pour le tord qu’elle lui cause ; au moins des excuses.

Cela prête à réflexion.


Marc SALOMONE



« Actualité, Portail SFR.
Seine-Saint-Denis: un banquier "craque" et dépouille les comptes de sa cliente raciste
Posté le 26 juin 2017 07:53
j.a. avec afp

Pour se venger de sa cliente raciste, il lui a escroqué 400 000 euros avant de se faire attraper.
Un jeune banquier sera jugé en août à Bobigny pour avoir escroqué pour près de 400.000 euros sa cliente octogénaire, expliquant notamment avoir "craqué" face aux propos "racistes" de cette dernière, ont indiqué dimanche des sources concordantes.
Cet homme de 27 ans a voulu "pousser un coup de gueule" contre son employeur a expliqué à l'AFP son avocat, Manuel Abitbol, confirmant une information du journal Le Point.


"Plusieurs éléments se sont ligués", a ajouté l'avocat: "une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans".
Il a immédiatement reconnu les faits
Le jeune homme qui travaille dans une agence LCL à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) est soupçonné d'avoir détourné, entre mars et décembre 2016, 380.000 euros de l'assurance vie de cette cliente âgée de 89 ans.
L'enquête a démarré après un signalement du directeur de l'agence qui s'inquiétait d'un changement d'adresse de la victime. Contactée par la banque, la cliente qui n'avait jamais changé d'adresse, avait alors déposé plainte, a détaillé Me Abitbol à l'AFP. Il s'est avéré que cette adresse correspondait en réalité à un appartement appartenant au banquier.
Cet appartement, et un deuxième logement acheté avec l'argent détourné, ont été saisis, ainsi que 36.000 euros de lingots d'or découverts en perquisition.
Placé sous contrôle judiciaire vendredi, selon une source proche du dossier, le banquier sera jugé le 21 août pour "escroquerie". "Son casier judiciaire est vierge et il a reconnu les faits à la première seconde de sa garde à vue", a souligné son avocat. »



Aucun commentaire: