vendredi, août 19, 2016

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Paris, le vendredi 19 août 2016


Pour : PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE

Copie à :
Président de la République
Premier Ministre
Ministre de la Justice

Présidents du Parlement
Présidents des groupes parlementaires

Premier Président de la Cour de Cassation
Président de la Cour d’Appel
Procureur général
Président du TGI

Directeur de la police judiciaire

Bâtonnier,
M° Joxe

Syndicat de la magistrature
Union syndical des magistrats
Syndicat des Commissaires de police

Simonnot, journaliste

Cour européenne des droits de l’homme (CEDH)


M. le procureur de la République,

La justice protège de tout examen de leurs propres responsabilités les personnes incluses dans les dénonciations déposées par M. Salomone auprès de M. le procureur de la République

Cette omerta rejaillit aujourd’hui sur leurs capacités et donc celles de l’Etat à faire face aux défis dits du Terrorisme qui sont en fait les défis d’une renégociation criminelle de la forme de l’Etat, de sa direction et de son fonctionnement.

Ceux qui font de l’entre-soi la règle dirigeante de l’administration publique ne sont certes pas responsables de tout. Ils n’en ont pas moins aujourd’hui du sang sur les mains.

1)- L’entre-soi
Les dénonciations adressées à la justice par M. Salomone n’ont été contestées par personne. Aussi bien celles concernant M. Sarkozy, la Mairie de Paris, M. Vicherat, Mme Fabius.

M. le Vice Président du Tribunal de Grande Instance de Paris (TGI) par sa lettre du 25 avril 2014 a validé celles concernant M. Sarkozy.

Ces gens pourraient répondre aux dénonciations de M. Salomone.

Par exemple, M. Sarkozy n’a jamais fui les attaques judiciaires venues d’associations de magistrats. Elles se sont toutes révélées infondées.

Ils ne répondent pas à ces dénonciations, certes en raison de l’impossibilité dans laquelle ils sont d’en démentir les termes, mais d’abord par politique de classe sociale.

C’est pour la même raison que les magistrats, par des faux et usages de faux en écritures publiques, la loi du plus fort, refusent à M. Salomone l’Aide juridictionnelle (AJ) permettant la nomination d’un Conseil auprès de lui.

Ils agissent ainsi parcequ’ils considèrent l’ouvrier Marc Salomone comme une sous-merde à l’égard duquel toutes les illégalités sont permises. J’en ai l’habitude.

Pour les cadres français, l’important est de rester dans l’entre-soi.

Comme si de rien n’était :
1- M. Sarkozy est à nouveau candidat au poste de Chef de l’Etat.
2- Mme Hidalgo se présente à la Présidence des Maires du Monde.
3- M. Vicherat reste Directeur de cabinet de la Mairesse de Paris.
4- M. Fabius est Président du Conseil constitutionnel.

Entre les cacochymes, les violeurs, les corrompus, les spoliateurs d’handicapés, les casseurs de Hauts-fonctionnaires, les citoyens n’ont vraiment que l’embarras du choix.

2)- Le fonctionnement
Les dénonciations de M. Salomone sont le fait d’un ouvrier français.
L’omerta est le fait des CSP+.
Elle indique qu’il n’y a pas de règlements de comptes entre réseaux de cadres sur ces questions.

C’est déjà l’orientation de l’écriture du livre de Mme Guillaume et des articles de présentation de celui-ci :
Il faut prévenir le public qu’il doit y avoir une information des réseaux de cadres, l’entre-soi, mais que ceux-ci ne doivent pas organiser ou participer à des discussions publiques, l’entre-tous.

Lorsque j’ai porté plainte contre des commerçants pour viol, j’ai consulté un avocat.
Il m’a dit, en réunion de travail :
- Une affaire dont on ne parle pas n’existe pas. Nous n’allons plus parler de cette affaire et donc elle n’existe plus.

Déjà à cette occasion ; l’omerta exigea de façon certaine la participation du Barreau, du Siège, du Parquet, du Commissariat, du Directeur des Affaires criminelles et des Grâces ; et donc probablement du Ministre.
Face aux composantes des classes populaires françaises, les cadres dirigeants français pensent ainsi s’octroyer indéfiniment les pratiques que dénonce M. Salomone.

Tel l’usage, selon leur bon vouloir, des droits de cuissage, de spoliation et de manipulation des handicapés, de pacte de corruption, de perturbation des statuts administratifs.

Ceci, dans la continuité des pratiques coloniales de leurs arrières-grands pères polytechniciens qui fouettaient eux-mêmes les ouvriers des plantations en journée et baisaient les niakouées le soir.

En fait les dénonciations de M. Salomone ont pour unique fonction de permettre aux CSP+ de se mettre d’accord sur les sujets couverts par l’Omerta.

3)- La confusion
Toutefois, la réalité oblige les gardiens de l’entre-soi à apporter des correctifs à leur aveuglement.

Nous verrons que ce n’est pas nécessairement pour un surcroit de démocratie.

Le 10 août 2016, M. Sarkozy dit : « En vingt mois, dit-il, il y a eu 237 Français assassinés. Ils le sont parce que les barbares qui nous attaquent croient que nous sommes faibles », « Je sens la République suffoquer » « la France doit être impitoyable ».

Comment peut-il ne pas prendre sa part de responsabilité dans les « suffocations » de « la République » ou « notre faiblesse » ?

a- Il détourne des fonds publics pour violer et prostituer une députée.
b- Il contraint une représentante du Pouvoir législatif à se mettre à genoux, moyennant finances, pour sucer le sexe du Chef du Pouvoir exécutif.
c- Cette subordination d’un Pouvoir à l’autre est une violation de l’indépendance des Pouvoirs. Elle est inconstitutionnelle.
d- La violation de la Constitution par le viol d’une députée fait surement rire les CSP+.
e- Elle n’en est pas moins une offre d’alliance faite aux « barbares » que ceux-ci ont su saisir.
f- Il refuse de répondre de ses actes pour en garantir au moins l’exception.

1- Le 11 juillet 2016, un chroniqueur déclare que « Sarkozy va renverser la table ».
2- Depuis le 19 juillet 2012, M. Salomone demande que M. Sarkozy commence par s’assoir à la table du droit et non qu’il la « renverse ».
Qu’il expose posément son point de vue sur les crimes que rapporte Mme Guillaume ; notamment le détournement de fonds publics au sujet duquel M. Salomone interpelle M. le procureur de la République. 

En refusant de discuter avec l’avocat de M. Salomone des questions posées par celui-ci, M. Sarkozy participe à établir cette « faiblesse » qu’il dénonce avec force chez les autres.  

La confusion des genres est identique chez les autres Dénoncés.

4)- La paralysie de l’Etat
Comment les magistrats peuvent ils s’imaginer que :
1- L’omerta sur le fait connu de tous les réseaux de cadres qu’est le viol d’une députée est sans conséquences sur le statut politique de la femme et l’action des idéologies fondées sur son asservissement ?

Si le seul point de vue judiciaire sur le viol d’une députée est qu’elle est une salope qui l’a bien cherché parcequ’elle est une femme ; que dire à ceux qui exigent de ces salopes qu’elles couvrent leur corps pour cesser d’exciter les hommes ?

2- La spoliation présumée des handicapés parisiens ne peut rester dans l’entre-soi de la criminalité des agents de l’Etat alors qu’elle est très probablement l’outil financier du viol de la loi 1905.

Dès l’agression du Maire de Paris, en 2002, le handicap mental est le lieu des discussions et des négociations entre les Pouvoirs publics, la Mairie, et le parti concordataire.

La manipulation des malades mentaux comme lieux de négociations entre les pouvoirs publics et les forces qui les concurrencent fait désormais parti du débat institutionnel.

Ainsi, tous les terroristes individuels sont-ils désormais classés malades mentaux. La seul raison est d’opportunité. Il s’agit de pouvoir dire que « le caractère terroriste de l’acte » est écarté.

La maladie mentale est ainsi considérée comme un paillasson administratif et les malades mentaux comme des serviettes hygiéniques judiciaires.

3- Qui peut croire que le Pacte de corruption passé entre M. le Directeur de Cabinet de Mme la Mairesse de Paris et une chaine Hôtelière n’est pas l’objet de transactions parallèles, pour obtenir leur silence, entre la Mairie et les représentants des lobbys installés ou des puissances « discriminées » ?

4- L’impact de la carrière brisée d’un haut fonctionnaire du Ministère des affaires étrangères (MAE) est peut être moins apparent mais il ne peut être qu’un élément désorganisateur dans l’Etat.

Un Haut fonctionnaire qui refuse la manipulation des finances publiques organisée par la conjointe du Ministre est, pour ce seul fait, envoyé à « limoges ». En l’espèce, dans un consulat de second rang aux USA.

Si cela est perçu comme la continuité des bizutages de douches des Grandes écoles ; quel Haut fonctionnaire peut désormais s’opposer aux ruptures de légalité, tels la spoliation présumée des handicapés ou un pacte de corruption, par exemple.

5)- Les extensions
L’entre-soi, l’omerta, la certitude de l’impunité, accompagnent des événements qui troublent la quiétude des CSP+.

1- La renégociation
a- Les cadres français n’ont pas tenu longtemps face à la terreur ; surtout lorsque les terroristes ont ciblé intentionnellement leurs enfants, au Bataclan.
b- L’armement politique et judiciaire a suivi la voie tracée par les assauts guerriers menés à la Kalachnikov.

c- Il est patent que le fonctionnement du Pouvoir en France est en train d’être renégocié. Il l’est notamment entre l’Etat et ceux qui ont la capacité d’utiliser la guerre comme moyen d’expression.

c- Les formes publiques des enjeux de cette offensive criminelle sont :
a- le passage de la loi 1905 au concordat ;
b- le passage de l’unité des politiques administrative à leur dualité, voire leur pluralité.

2- Du dehors au dedans
A- Vers 2005, le centre de gravité des négociations de l’Etat avec les partisans de la dualité administrative était hors de l’Etat.

L’Etat livrait, utilisait, les groupements sociaux vulnérables comme instruments de négociations.

Par exemple :
a- Les handicapés de la Mairie de Paris présumés spoliés de leur budget probablement pour financer une politique immobilière religieuse illégale. Ce que M. le député Caresche, adjoint au Maire à Paris, appelle : mettre du temps à contourner la loi mais y parvenir.
b- Les handicapés et personnes vulnérables utilisées par la police judiciaire et le parquet pour installer socialement des réseaux de voyous en ville. Cf. Affaire Jukic, 14ème chambre TC, 2003, Présidente Ribeyrotte.

B- En 2015-2016
a- Les handicapés sont plus que jamais un lieu de négociation. À la télévision, les soutiens universitaires aux terroristes individuels réclament avec succès le classement d’office en malades mentaux de leurs poulains.
b- En même temps, le centre de gravité des négociations produites par l’idéologie factieuse dite des « deux cotés du périphérique » ou « périphérique » passe désormais à l’intérieur de l’Etat.
c- Une partie des agents de l’Etat, des policiers et gendarmes subalternes, sont accaparés en victimes sacrificielles. Les policiers et gendarmes subalternes, pour l’instant, font désormais partis des stocks et des flux judiciaires.

3- Les conditions
a- Ils ne sont pas mis en cause pour la mort d’innocentes victimes des brutalités policières. Là, rien ne change.
b- Ils le sont par les ayants-droits de voyous, ou les voyous eux-mêmes, qui ne supportent pas que les policiers veuillent imposer l’autorité des représentants de la loi comme la norme des rapports entre les agents de la force publique et les crapules en rébellion.
c- Ces procès correspondent à l’installation d’une dualité de politique administratives, de deux sources de légalité ; le Code civil et la Charia.

4- L’inversion des primautés
a- On peut détourner des fonds publics pour violer et prostituer une députée, spolier les handicapés, organiser un pacte de corruption, désorganiser la haute fonction publique, sans avoir à fournir la moindre explication.

b- Par contre, tirer sur un voyou multirécidiviste, évadé, armé, refusant d’obéir aux injonctions de la police, conduit un policier aux Assises et le procureur général fait appel de la décision d’acquittement du jury d’Assises.
La même offensive concerne des gendarmes de terrain.

c- La seule condition de ce revirement de primauté légale étant que le voyou concerné soit réputé pouvoir relever d’une autre politique administrative que celle à laquelle se réfère l’agent de l’Etat.

d- Les procès qui s’en suivent visent de plus en plus à établir cette dualité, cette obligation de type diplomatique de l’exercice de l’ordre public.

4- Le troc
A part les imbéciles, chacun comprend que le Bataclan et l’idéologie factieuse dite du « périphérique » sont une négociation de l’exercice des pouvoirs publics et qu’elle a aboutie.

Comme les handicapés mentaux, seuls jusqu’à présent, ces fonctionnaires servent de lieux de négociations pour éviter que se renouvellent les opérations du type du massacre au Bataclan ; dans un de ces lieux où les enfants des CSP+ se divertissent.

6)- Conclusion
Le journal Le Monde du 18 août 2016 titre « Valls appelle les musulmans à s’opposer à l’islam radical ».

Il faudrait pour cela que l’Etat commence par s’opposer à l’omerta de connivence qu’il entretient avec ses propres voyous.

En effet :
1- Ceux-ci ont les mêmes préoccupations logiques que les islamistes.
2- La force du dit « islam radical » ou « islamisme », le parti de la Charia, est que les représentants des Pouvoirs publics ne peuvent plus lui refuser l’usage de la criminalité qu’ils accordent aux réseaux de cadres régis par le Code civil.

Je renouvelle donc l’exigence que ces gens répondent à mes questions.

Il revient aux magistrats de se conformer à la légalité et de reconnaitre à M. Salomone le bénéfice de l’AJ, afin qu’un avocat l’assiste dans cette discussion concernant ces détournements de fonds publics.

En étant bien conscient que les pauvres ont une odeur.

En vous remerciant pour votre attention,

Je vous prie d’agréer, M. le procureur de la République, l’assurance de mes considérations distinguées,


Marc SALOMONE

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