mercredi, août 12, 2015

130- Président du sénat, Président de l'assemblée nationale, sarkozy, guillaume, députée, viol, 12.08.2015




Paris, le mercredi 12 août 2015



MM. les Présidents du Parlement


Copie à
M. le Président de la République
M. le Premier Ministre
Mme la Garde des Sceaux

M. le Premier Président de la Cour de Cassation

M. le Président de la Cour d’Appel
M. le procureur général
M. le procureur de la République
Mme la Présidente du TGI

Monsieur le Bâtonnier,















Messieurs les Présidents du Parlement,

Pour votre seule information et sans en attendre une action de votre part ; j’ai l’honneur de vous communiquer la Dénonciation que j’ai adressée à M. le procureur de la République de Paris.

Vos Chambres respectives sont concernées par cette réflexion citoyenne à un double titre :
1- Une Députée a été violée et prostituée ; la visée en étant la subordination humiliante et dégradante du Pouvoir législatif devant le Pouvoir exécutif, ce que les journalistes appellent une « gâterie ».
2- Le Trésor public, dont vous êtes les contrôleurs, a été spolié par un donneur d’ordre disposant de l’autorité publique ; une somme prévue pour un Musée a fait le détour par le paiement d’une prestation sexuelle contrainte.

Ainsi que je l’ai précisé à plusieurs reprises à M. le Procureur de la République afin qu’il n’y ait aucun malentendu ; contrairement à d’autres démarches parallèles à la mienne, je ne développe en aucune façon ce travail juridique pour :

a- Contourner la fonction constitutionnelle des partis politique qui ont seuls à charge de désigner les candidats au suffrage universel ;
b- Supplanter le suffrage universel dans la désignation des candidats éligibles au deuxième tour et à la charge élective ;
c- Etablir un code de bonne gouvernance qui légalise la surveillance, en définitive religieuse, du licite et de l’illicite dans l’exercice du Pouvoir exécutif ; en lieu et place de la doctrine légale de la Séparation des pouvoirs.

Les magistrats n’hésitent pas accompagner les accusations fondées sur ces logiques, voire à ouvrir des partenariats avec leurs auteurs. Par contre, ils recouvrent la demande, immédiatement crédible et rapidement vérifiable, de M. Salomone par l’Omerta.

a- Lorsque je suis convoqué au commissariat pour enregistrer ma demande, c’est parcequ’on a demandé à un Gardien de la paix de m’insulter jusqu’à ce que je parte.

b- La seule réponse judiciaire faite à M. Salomone est l’alliance dans le faux, la réitération de faux, l’usage de faux en écritures publiques par personnes ayant autorité, l’usurpation d’identité.



Pourtant, le parquet sait très bien reconnaître la pertinence du questionnement de M. Salomone lorsqu’il n’y a pas de concurrence des Titres entre les informateurs de la justice.

L’inégalité de traitement judiciaire qui lui est imposé en l’occasion ne s’explique que par la seule ségrégation sociale.

Après un certain travail que d’autres n’ont pas fait ; M. Salomone arrive au constat, que le Chef de l’Etat concerné a pensé que la solution à tel problème politique du moment, lequel ne se posait justement qu’à lui, Chef de l’Etat, était dans le viol d’une députée, sa mise en prostitution, le détournement de fonds publics, l’association de malfaiteurs.

La question que M. Salomone pose aux personnes compétentes est de savoir qu’elle est la place du droit et des juges dans cette figure où le Chef de l’Etat pense devoir recourir au crime de droit commun pour conduire les affaires de l’Etat.

Cette conduite des affaires que M. Art, Magistrat, Vice-Président d’Anticor, appelle « l’exercice de l’Etat ».

Le mépris n’est pas une réponse à des questions que M. le Vice-Président du Tribunal de Grande Instance (TGI), au nom de Mme la Présidente, a qualifiées de « crime de viol dont vous faites état et qui serait imputable au chef de l’Etat. ».

Personne ne nie les faits, tout le monde veut les conserver dans l’entre-soi.

a- Un Chef d’Etat a eu l’audace de mettre une députée à genoux devant sa braguette et de faire payer la passe par le contribuable.
b- Un pauvre à l’outrecuidance de demander à la justice d’être honnête et de reconnaitre l’éligibilité de M. Salomone à l’Aide juridictionnelle (AJ) et à la nomination d’un avocat.

L’Autorité judiciaire a peur de la présence d’un avocat et on se demande ensuite pourquoi les jeunes capables ne croient plus en ce pays et le quittent.

Le silence a au moins ceci de bon que personne ne peut prétendre craindre le bruit.

Je vous prie d’agréer, MM les Présidents, l’assurance de ma considération distinguée,
Marc SALOMONE

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