mardi, juillet 28, 2015

128- Bâtonnier, aide juridictionnelle, ségrégation sociale, avocat, sarkozy, 28.07.15





Paris mardi 28 juillet 2015


Monsieur le Bâtonnier,


Ordre des Avocats à la Cour de Paris
11, place Dauphine
75053 Paris CEDEX 01
Tél. : 01 80 27 19 20

Affichage public officiel de la Mairie de Paris
« Ce n’est pas parceque vous n’avez pas de logement
 que vous n’avez pas droit à un avocat ».
« On a tous droit au droit »
Barreau Paris Solidarité
Avocatparis.org.


Note : Depuis le 19 juillet 2012, tous les textes de cette affaire sont sur le blog : madic50.blogspot.com.











Monsieur le Bâtonnier,

1)- Le cheminement

Je vous ai constamment entretenu de ma démarche, commencée les 19 et 27 juillet 2012, auprès de M. le procureur de la République concernant les faits rapportés par Mme Guillaume dans son livre, Le Monarque, son Fils, son Fief.

Cette démarche impose la présence d’un avocat.

A cette fin, j’avais sollicité vos conseils, le 10 avril 2014. J’en ai reçu une lettre le 14 avril 2014. Je m’y suis conformé et j’ai déposé une demande d’Aide juridictionnelle (AJ) le 17 avril 2014.

Il m’a immédiatement été répondu par une Notification du 29 avril, du Bureau d’Aide juridictionnelle (BAJ), qui est un faux en écritures publiques.

L’obstruction illégale n’a pas cessé depuis.

2)- La ségrégation sociale
Cette obstruction n’est pas principalement une solidarité à l’égard de M. Sarkozy. Chacun connait l’activité intense de la magistrature pour déstabiliser judiciairement cet homme d’Etat.

Ce barrage est d’abord le produit d’une politique judiciaire reposant sur la ségrégation sociale.

a- Les magistrats donnent suite à des plaintes ou des signalements grotesques visant M. Sarkozy. Ils mettent ce dernier en examen en faisant savoir publiquement que telle inculpation n’a aucun fondement juridique et qu’elle fera pschitt !

b- Les mêmes refusent un avocat à un pauvre pour examiner des faits dont nul ne s’avise de mettre en cause la véracité.

3)- Un avocat

Je ne vous demande d’intervenir ni dans une affaire judiciaire ni pour que j’aie l’AJ.

Je vous demande :
1- De dire à qui de droit que la demande d’Aide juridictionnelle déposée le 17 avril 2014 doit être lue.
Elle ne l’a pas été car elle a été notifiée par le BAJ par un faux en écritures publiques repris par les Cour d’Appel.
C’est ce faux qui a été rejeté et confirmé.

Il parait invraisemblable que le Bâtonnier soit incompétent pour défendre le droit à un avocat lorsque ce droit est frauduleusement bafoué.

2- De nommer un avocat gratuit, même au mois d’août, pour faire le point et voire comment faire face à toutes ces fraudes.

4)- L’utilité de l’avocat

Un avocat pourrait m’aider à utiliser des termes professionnels.
Ainsi :
a- Lorsque j’écris à Mme la Présidente du TGI, je donne mon argumentation.
b- M. le Vice-Président me répond que je « fais état d’un crime de viol ».
c- Or, je n’ai pas employé cette expression.

Ceci montre que :
1- Mes arguments ont une traduction professionnelle.
2- Il y a un langage professionnel qui pourrait amener les magistrats à étudier les faits rapportés plus aisément.

En même temps, il pourrait m’aiguiller dans le maquis des procédures. Ainsi, on me parle de plainte pénale et de voie civile. De quoi s’agit-il ? Seul un professionnel honnête peut le dire.

Vu que tout le travail de rédaction est fait par M. Salomone, l’avis de l’Avocat ne sort pas du rôle que lui impartit la consultation gratuite.

5)- Conclusion
C’est surement bien que les avocats français soient de grands spécialistes des fautes des Chefs d’Etat africains. Il serait sans doute également judicieux qu’ils participent à ce que celles des Chefs d’Etat français soient discutées sous le contrôle des mêmes magistrats.

En vous remerciant de votre attention et en attendant de vous lire,

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Bâtonnier, l’expression de mes sentiments distingués,


  Marc SALOMONE

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