vendredi, novembre 28, 2014

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Paris vendredi 28 novembre 2014


A RAPPELER DANS TOUTE CORRESPONDANCE
Numéros BAJ:
20I4/34867/34868/34869/34870


N. réf. : Notifications de la Cour d’appel
N° : RG 14/22714, RG 22717, RG 22731, RG 14/22737, RG 14/22742




Pour :
Président de la Cour d’Appel
Procureur général près la Cour d’Appel
Président du Bureau d’aide juridictionnelle


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Copie à :
Président de la République
Premier Ministre
Garde des Sceaux
Procureur général
Président du TGI
Procureur de la République
Bâtonnier





Monsieur le Président de la Cour d’Appel
Monsieur le Procureur général près la Cour d’Appel
Monsieur le Président du Bureau d’aide juridictionnelle (BAJ)

Le 14 novembre, par les courriers de votre Greffe, vous me dites que les Appels aux rejets des demandes d’Aide juridictionnelle (AJ) ont été reçu par la votre Cour.

J’ai fait l’analyse du contenu de ces envois du Greffe par le courrier du jeudi 20 novembre.

Je veux ici dire le déni de justice dont je suis l’objet de façon que nul ne puisse dire qu’il ne savait pas.

Les rejets, les Appels et donc l’étude que va leur consacrer la Cour d’Appel, excluent la seule demande d’AJ que j’ai formulée de ma pleine autorité, celle du 17 avril 2014.

Ce silence valide hypocritement la conformité incontestable de cette demande aux textes de loi qui régissent le BAJ.

Les rejets et donc les Appels concernent uniquement les fautes commises par le personnel judiciaire pour fausser l’étude de la demande du 17 avril et annuler cette dernière par la bande.

La Cour d’Appel va avoir entre les mains le caca nerveux de ce personnel judiciaire et non la demande loyale déposée le 17 avril par un justiciable pour l’étude d’un fait objectif et à l’heure actuel incontesté.

Le piège dans lequel on tente d’enfermer la Cour d’Appel, avec ou sans son consentement, consiste à la conduire à faire semblant de traiter les Appels comme s’ils n’étaient pas le résultat d’une manœuvre des échelons précédents du personnel du Ministère de la justice pour éliminer la demande contrariante d’un justiciable imprévu.

La Cour d’Appel doit donc interdire que ces manœuvres, notamment celle de M. le procureur de la République, obèrent malhonnêtement l’étude de la demande d’enquête du 19 juillet 2012 et vide de son contenu la demande d’AJ du 17 avril 2014.

M. le procureur de la République veut faire en sorte que je puisse avoir l’AJ mais que la demande d’enquête ait déjà été classée indirectement par voie de fraude. L’enquête à laquelle il fait référence est judiciairement une tromperie.
Rien n’est venu discuter légalement la demande d’ouverture d’une enquête préliminaire du 19 juillet 2012. Il n’y a eu aucune discussion judiciaire des faits rapportés par Mme Guillaume et présentés par M. Salomone.

Ces manœuvres sont illégales, malhonnêtes et indignes.

L’objet de la demande d’AJ est d’obtenir les services d’un avocat. La raison d’être de cet AJ est d’accompagner la demande d’ouverture d’une enquête préliminaire concernant les faits rapportés par Mme Guillaume.

Il est de mon devoir et de mon droit de remarquer que cette responsable publique rapporte les faits de viol, prostitution, proxénétisme, détournement de fonds publics, manquement à la séparation des Pouvoirs qui auraient été commis par M. Sarkozy du fait de l’exercice de ses fonctions à l’encontre d’une députée présente du fait de ses fonctions.  

Cette remarque me conduit à demander une enquête préliminaire sur les faits rapportés par Mme Guillaume.

Je suis fondé à poser cette demande au titre de citoyen (on viol une députée), de contribuable (il y a détournement de fonds publics), d’expert du viol de pouvoir. Ce type de viol a été introduit dans le droit international sous le vocable de « viol comme arme de guerre ». Il figure dans mes écrits sous le titre de « viol d’asservissement ».

Je m’adresse au BAJ pour une AJ totale aux fins de permettre à un avocat d’intervenir dans cette procédure. Les magistrats devraient s’en réjouir.

Je suis fondé à demander cette AJ. Mes revenus sont de 879 euros par mois. Ma demande est conforme aux exigences de la loi.

Les magistrats ne peuvent plus dire qu’ils pratiquent l’omerta à l’encontre des demandes de M. Salomone dans le but de préserver la personne du Chef de l’Etat que fut M. Sarkozy, de l’homme d’Etat qu’il est, du candidat qu’il veut être.

Après deux gardes à vues et deux mises en examen, cette farce est devenue indécente.

Le mercredi 26 novembre 2014, le Canard Enchainé nous informe de la possible organisation par M. le procureur de la République de la confusion du patrimoine de Bygmallion (4 millions d’euros de dettes) avec le patrimoine personnel de M. Sarkozy.
Sans doute par respect pour le Chef de l’Etat qu’il était au moment des faits.  

On rejette la demande d’AJ de M. Salomone par ségrégation sociale et par calcul politique. Je ne fais ici que l’affirmer, je pense avoir déjà argumenté.

Je continuerai à le faire car :
1- La criminalité des faits rapportés est indubitable si les faits sont exacts.
2- La ségrégation sociale est insupportable.
3- La demande est légitime et conforme.

Et bien sur, personne ne sera là pour me représenter. Les pauvres ne peuvent que laisser les magistrats à leur conscience.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la Cour d’Appel, Monsieur le Procureur général près la Cour d’Appel, Monsieur le Président du Bureau d’aide juridictionnelle (BAJ), l’assurance des mes salutations distinguées,


Marc SALOMONE

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