lundi, octobre 17, 2011

Faux de la part de la Cour de cassation, rappel de plainte

Marc Salomone
d.50@gmx.fr


Paris, le jeudi 28 juillet 2011




Monsieur, le Procureur de la République
A Paris

Madame la Présidente du Tribunal de Grande Instance

Monsieur le procureur général
De la Cour d’Appel
Monsieur le Premier Président de la Cour d’Appel

Monsieur le Premier Président
De la Cour de Cassation

Monsieur le procureur général
De la Cour de Cassation

Monsieur le Garde des Sceaux

Monsieur le Premier Ministre




Réf. : Plainte du 8 juin 2010
Plainte contre X. Pour : Faux et usage de faux, escamotage conscient d’une Association de malfaiteurs visant des personnes vulnérables, obstruction à la justice.

Document visé : Arrêt du 10 juin 2009
V. réf. : W 09.81429 F-N

Objet : La malhonnêteté des cadres de l’Etat


Monsieur le Procureur de la République,

J’ai déposé une plainte 8 juin 2010, soit il ya près d’un an. Je n’ai toujours pas reçu de réponse. Ce n’est ni une erreur ni un malentendu. C’est une malhonnêteté.
Si vous voulez parler à un avocat, c’est à vous d’ordonner aux fonctionnaires du Baj de cesser de saboter le travail pour lequel ils sont forts bien payés. Ces gens estiment de leur devoir, et surtout de leur train de vie social et syndical, d’interdire aux pauvres de porter plainte contre les agents de l’Etat. Là aussi, il ne s’agit pas d’inadvertance, mais de politique discriminatoire.

Déjà, en 2003 :
- la plainte visant les faits de viol, association de malfaiteurs entre policiers et voyous civils contre des handicapés mentaux et personnes vulnérables à été classée par une procédure d’urgence.
11.04.03 / P/0310109829.
- La plainte visant les faits d’enlèvement, séquestration, torture, est restée sans réponse.. 7.10.03 / P03-280-098.
Ce refus de répondre est une pièce d’une carambouille judiciaire.

Je ne gagne que 1105E par Mois (1000E au début de cette affaire). Je fais partie des foyers surendettés. Cela devient la règle à ce niveau de revenu. Donc, il est hors de question de prendre un avocat.

Je suis confronté depuis le début de cette affaire à une double haine de la part des fonctionnaires, de toutes catégories. La haine de classe des pauvres, des faibles, et le rejet de caste des administrés qui demandent des comptes aux fonctionnaires.

Cela concerne aussi bien les faits que les procédures. Les collègues statutaires et syndiqués ne pensent même pas violer la loi en étant faussaires, violeurs, criminels.

Soit, je m’adresse directement au procureur de la République. Il classe ou ne répond pas.
Soit je m’adresse au Bureau d’Aide juridictionnelle. Comme le Doyen n’a pas encore accepté l’affaire, le Baj la refuse. Comme le Baj refuse l’affaire, le Doyen exige une caution impayable.

J’ai décrit par le menu, auprès du Doyen des juges d’instruction, le jeu de carambouille entre le Procureur de la République, le Baj, le doyen des juges d’instruction, la Chambre de l’instruction. Les magistrats se font le pauvre aux petits oignons.

Le Conseil Constitutionnel à déclaré inconstitutionnel le paiement d’une caution qui empêche une personne d’accéder au service public. Dans une autre affaire, au motif de l’inégalité devant les services publics, (Décision n° 2003-484 DC du 20 novembre 2003 : Loi relative à la maîtrise de l'immigration, au séjour des étrangers en France et à la nationalité, art.7). Apparemment, ça ne concerne pas les français, du moins les pauvres.

A partir de là, le débat judiciaire est astucieusement dévié sur la légalité du paiement de la caution. Les magistrats s’amusent, se régalent.

Il va de soi que la Chambre de l’instruction entérine tout. Elle peut même se permettre de dire qu’il est inutile d’entendre un plaignant qui n’est pas représenté devant elle par un avocat. L’affaire d’Outreau a fait connaître cette instance aux français.

C’est une façon astucieuse de garantir l’impunité de certaines catégories de justiciables. J’ai compris que je ne suis pas de votre monde.
La plainte du 8 juin 2010 vise un faux en écriture publique dans un Arrêt de la cour de cassation.

Dans l’énoncé des chefs de plainte :
a- « chefs de non assistance à personne en danger… » devient : « chefs d'omission de porter secours… »
b- « … enlèvement, séquestration, tortures, empoisonnement, discrimination... » devient : « enlèvement, séquestration, meurtre, actes de torture et de barbarie, discrimination… »
Vous disposez de tout le dossier et vous pouvez vérifier que ces expressions n’ont pas d’antécédent.

C’est particulièrement grave. Cela change le contenu de la plante et surtout sa pertinence. Cela permet aussi de mettre en place une répression extrajudiciaire du plaignant. Ce qui est habituel de la part des agents de l’Etat français.

Ce faux manifeste et volontaire implique la commission d’une action visant à couvrir une association de malfaiteurs, les actions de celle-ci à la demande de M. le procureur de la République, dont les faits d’enlèvement, séquestration, torture, obstruction à l’action judiciaire, visant à interdire, le 18 octobre 2000, l’enregistrement d’une plainte pour association de malfaiteurs entre policiers de la police judiciaire et voyous civiles récidivistes. Les faits visés par la plainte retirée sous la torture étant notamment ceux du 30 avril 2000. L’objet de cette association de malfaiteurs étant d’asservir une famille de personnes faibles, vulnérables, handicapés mentales. La police judiciaire étant constamment et expressément intervenue au profit des voyous pour les aider à spolier cette famille de son logement, et ainsi conduire les parents au suicide certain.

La volonté criminelle des policiers de la première association de malfaiteurs, 11.04.03 / P/0310109829 ; et de la seconde, 7.10.03 / P03-280-098 ; n’ayant jamais fait le moindre doute. Il y a eu la volonté de créer au moins le risque de tuer dans les deux cas. Dont, dans le premier cas, de tuer des handicapés mentaux et des enfants. Une habitude dans la fonction publique française.

Cf. :
11.04.03 / P/0310109829 ;
7.10.03 / P03-280-098 ;
22.01.07/ N° d’instruction : 0/07/47, N° du Parquet : 07.017.2305/1

Les magistrats ont constamment pris le parti des voyous, civils et fonctionnaires, jusqu’à s’associer directement, le 18 octobre 2003, à leur criminalité.

Je sais d’expérience que les fonctionnaires jouent la montre pour obtenir la prescription qu’ils prétendent refuser aux simples gens.

Le fait que les magistrats associés à la police et aux fonctionnaires hospitaliers aient usé de la torture pour faire retirer des plaintes ne permet pas d’invalider celles-ci au titre de la prescription alors que les délais de prescriptions ont éventuellement pu être franchis par l’usage de procédures malhonnêtes et la production et l’usage de faux en écritures publiques. Mon action judiciaire est continue depuis 2003 et celle de 2000 n’a été interrompue que sous la torture et l’association de malfaiteurs entre la police judiciaire et le procureur de la République.
Nous expliquer qu’il suffit d’enlever, séquestrer, torturer, menacer de façon continue, un plaignant pour obtenir la prescription des faits, formerait une jurisprudence qui mériterait d’être communiquée au publique. Ça ouvrirait de vastes perspectives.

C’est déjà sous la violence policière, la chasse à l’homme, la torture au titre de ma judaïté cachée, que j’ai dû abandonner mes poursuites lors du premier viol. Ces gens ont du métier

L’argument de la prescription est donc un argument de participation à l’association de malfaiteurs constituée et qu’il s’agit précisément de juger.

Je sais que je vous fais jouir en insistant dans ce parcours pour faire juger des fonctionnaires criminels, dont des magistrats.

J’ai été violé deux fois, par des privés et par des fonctionnaires. Les deux langages de ces criminels distincts me permettent, telle la Pierre de Rosette, de lire le langage commun à leur criminalité.

La salope violée étale sa faiblesse. Les cadres français sont prêts à traiter de cette discrimination concernant une femme de ménage noire américaine. En France, ils se contentent d’en encaisser les bénéfices.

Pour un français agent de nettoyage les faits :
- D’écrire au procureur de la République
- De dénoncer une agression sexuelle par des fonctionnaires,
- De dénoncer une association de malfaiteurs impliquant des policiers,
Sont des justifications de torture jusqu’au retrait de la plainte.

Les américains n’ayant jamais dénoncé l’extermination des malades mentaux, car ils se servent eux-mêmes de la criminalité à l’égard de ceux-ci, les officiels français déclarent avec une naïveté confondante que l’incrimination de maladie mentale légalise toutes les forfaitures et criminalités officielles. Et ils ne se privent pas de ce qui pour eux est un jeu des plus amusant. On voit dans leur regard et leurs postures qu’ils suffoquent de plaisir à la découverte de leur toute puissance. Ils disent : malade mental ! Et aussitôt, la personne se transforme en Sexe-toy administratif, médical et syndical.

Sur ordre du préfet, j’ai aussi eu droit à : « Il est étonnant et suspect qu’avec le nom que vous portez, il n’y ait pas de juif dans votre famille. » On ne laisse jamais perdre les délices secrets des vieilles habitudes. Et c’est un motif effectif de torture. En réunion, avec les syndicats.

Il suffit pour les fonctionnaires de déclarer qu’un homme dit avoir été violé par une femme pour que ce dernier soit disqualifié. Ils croient réellement avoir formulé un mensonge imparable. Je n’ai pas encore compris qu’on puisse arriver à ce niveau d’imbécilité. La procédure est simple. On fabrique un faux en remplissant un formulaire. Puis : s’assoir en réunion, regarder, jouir.

Il y a aussi : « Reconnaît être homosexuel ». De la part de la CGT, de SUD, de Force Ouvrière. Aucun de ces tortionnaires n’oserait dire cela en public. A Sachsenhausen, en 42, comme dans les locaux administratifs français, en 2000, c’est un acte professionnel.

Nous sommes dans les locaux fermés où les collègues statutaires et syndiqués sont tout-puissants. Ils savent que jamais personne ne publiera leurs écrits ni leurs dires, ou les faits. Ils se lâchent, se débraguettent, vident leur sac. La malhonnêteté, l’imbécilité, le sadisme, le fascisme, l’arriération, l’abjection, voilà les qualités que j’ai rencontrées, affirmées comme allant de soi.

Pour répondre à une préoccupation moderne : Est-ce que l’arrivée des femmes, des noirs, des arabes, des juifs, dans les cadres administratifs, médicaux, juridiques, change quelque chose ? Le fait de subir la discrimination machiste, d’avoir des aïeux indigènes, esclaves, déportés, apporte t’il une conscience de la saloperie humaine ? A l’expérience, la réponse est non. Tous les témoignages de détenus de toutes les formes de détentions concordent. Les femmes sont pires que les hommes. En ces lieux de gestion du bétail, tout est dans la nuance.

Dans l’Etat : Les femmes prennent naturellement leur place de pousse-au-jouir des hommes, les noirs servent les blancs avec plaisir, et prennent leur bénéfice en douce, les arabes sont conformes au sadisme pervers qu’on attend d’eux, les juifs sont dans le déni, les jeunes cadres bizutent les victimes, les personnels gèrent le bétail avec la même application qu’à Drancy ou Cayenne. Je n’ai pas vu une lueur d’honnêteté ni d’humanité. Comme ailleurs, ces mamans et ces papas disposent d’un lieu pour ça. A l’écart du camp, un village des familles de fonctionnaires.

Il ya 500 pages de dossier. Les magistrats administratifs en ont refusé la communication. Avec la satisfaction concupiscente de ceux qui se savent à l’abri de toute demande de compte, ils ont déclaré que la communication des seuls feuillets d’enregistrement du dossier correspondait aux exigences de la loi. C’est illégal. Ils sont les plus forts, c’est tout. C’est sur la certitude de cette complicité que fonctionne la criminalité officielle.

J’ai appris qu’ils le font aussi dans le cas de demandes de dossiers concernant les industries du médicament. C’est un journaliste spécialisé qui nous l’apprend dans un débat sur un scandale sanitaire.

Les trois feuillets d’entrée et de sortie que j’ai obtenu sont signés : Mme Unetelle-Le Chef, le préfet, etc. Vu le niveau du débat, et l’obstruction illégale, féodale, que les magistrats font à toute demande d’examen d’une question de droit, je n’ai pas donné de suite judiciaire à ces inscriptions.

Je note ici qu’il s’agit d’une illégalité fondée sur l’arriération. Une fois qu’il est admis que les deux sexes sont égaux en droit, il n’est plus possible qu’une femme signe « Le ceci-cela ». Qu’une Marie-Chantal veuille se faire appeler « Madame le ceci-cela » peut flatter sa vanité, et faire jouir ses copines. Cela invalide le texte ainsi signé. Lorsqu’une femme est nominalement présente, c’est juridiquement une femme qui est présente. Il s’en suit que Madame le Directeur n’est juridiquement plus personne.

Certes, tout cela est complexe. Nous payons des impôts afin que des professionnels, appelés magistrats, examinent ces questions. Il faudrait pour cela qu’ils acceptent de me considérer comme un être humain. Au titre de pauvre et d’administré, ce n’est pas le cas.

Il n’en reste pas moins que toutes les formules telles que Madame le Directeur sont entachées d’illégalité, et donc les textes, décisions, actions, qu’elles sont censées validées.

Nous savons par voie de presse que les cadres sont très fières de ces idées rances illustrant leur modèle de réflexion : C’est légal parce que je le veux ! Ça se vérifie dans les salles de tortures.

Je sais donc que mon entêtement à porter la criminalité officielle en justice, au titre de pauvre en plus, fait jouir les cadres français. J’ai ne mémoire le sourire béat de l’inspecteur qui m’a violé : « N’hésitez pas à porter plainte auprès du tribunal administratif ! ».

Je connais leurs visages aux yeux exorbitants de haine, aux rictus de concupiscence provoqués par la présence de la chair de leur victime, de ses couilles, ses fesses, ses cuisses, sa poitrine, sa nudité, sa honte, sa destruction. 900.000 viols chaque années, rien que dans les commissariats, dont au moins 500.000 avec pénétration anale. Pour rien au monde les collègues statutaires et syndiqués, hommes et femmes, ne manqueraient ces séances sexuelles. Vous ne faites pas ça si vous n’en jouissez pas.

Leur dire qu’ils sont des violeurs, des faussaires, des tortionnaires, des canailles, c’est encore les faire jouir et leur permettre de se mettre en colère. Ce qui est le principe de la mentalité des violeurs.

J’ai été violé par des privés, propriétaires, en 1987, et par des fonctionnaires, policiers, en 2000. Les réactions des crapules, civiles ou officielles, à la dénonciation du viol sont identiques. Le rire et la colère. Le rire face à la salope à poil. Parce qu’il est ridicule. La colère face à la salope à poil. Parcequ’une salope doit apprendre à respecter ses bourreaux, civils ou officiels. Les privés cognent au nom de l’outrage.

J’ai été menacé de mort pour avoir mordu l’un des violeurs privé, au titre de la possible transmission du Sida. Les fonctionnaires rentabilisent l’outrage par le racket et la menace de torture. Ils sont choqués, ils ont droit à des indemnités. Ils sont en danger, ils doivent défendre la société. La solidarité des magistrats avec les violeurs des deux catégories est la même.

On rencontre toujours la même affirmation : la victime est immorale et criminelle.

Dans les deux cas, l’enlèvement, la torture, la menace, pour faire taire la victime. Le faux en écriture publique est une règle administrative, médicale, judiciaire, et aussi avocassière.

Pour connaître ce qu’est un acquis syndical, une fraternité corporative, une exigence professionnelle absolue, il faut avoir vu les fonctionnaires à l’œuvre dans l’intimité de leurs fonctions. L’enthousiasme de ces fonctionnaires en train de violer, torturer, falsifier des rapports, sur ordre du procureur ou avec sa couverture. Leur sérénité à l’idée que les américains ne viendront pas. L’application professionnelle, la méticulosité, est la même que de la part des privés.

Cette certitude de n’être de toute façon jamais jugé pour ses crimes. Cette bonne conscience outrée de n’avoir aucun compte à rendre. La continuité de l’action des fonctionnaires en somme.

Je n’en maintiens pas moins ma question. Quand allez-vous juger ces gens. Je paie des impôts pour assurer le bon fonctionnement d’une administration publique.

Je rappelle que la base de cette histoire est l’association de malfaiteurs entre policiers de la police judiciaires et voyous civils pour réduire à l’esclavage une famille de handicapés mentaux, l’exploiter et fournir à ces malfaiteurs une base géographique et sociale de développement.

A partir de là, toute la jouissance, tout le sadisme, toute la solidarité criminelle, dont peuvent faire preuve des fonctionnaires ont été mis en branle pour soutenir ces criminels de base, fonctionnaires et civils. La malhonnêteté volontaire des magistrats, leur racisme social, leur solidarité féodale, sont exemplaires.

Les magistrats de la Cour de Cassation ont commis un faux volontaire. Ils n’y étaient pas obligés. Un pauvre ne peut rien faire contre une décision judiciaire, si abject soit-elle. Mais, il leur fallait marquer cette haine, ce mépris, cette menace. C’est la raison principale de ce faux. L’autre, c’est la menace implicite. Nous pouvons tout. Fermez là.

Le commissaire principal de police du 17° art, celui qui a signé les faux, juste avant de partir à la retraite, une dernière saloperie avant de partir, m’a dit : « Aujourd’hui, c’est une simple visite médicale. La prochaine fois ce sera beaucoup plus grave. ». Il ne risquait rien. Il était à quelques semaines de la retraite. Ses promotions factices étaient déjà faites. La solidarité de caste l’emporte sur le droit, et surtout la droiture.

Une ritournelle en boucle. Nous sommes les plus forts. Nous sommes couverts.

La Cour européenne des droits de l’homme, dans une décision concernant une procureuse tchécoslovaque, pour un réquisitoire de 1948, a dit que cette femme était coupable au titre du principe dit de « la baïonnette intelligente ». Un responsable doit savoir si une action professionnelle est criminelle. Cela s’applique aussi aux responsables d’Etat français.

L’arrêt de la Cour de Cassation est entaché d’un faux. Il doit être jugé.

Jusqu’à ce jour, je n’ai eu à faire qu’à des canailles, des droits communs, des criminels. Je veux connaître ces personnes et savoir pourquoi elles agissent ainsi. La seule réponse que j’ai c’est de me signifier : nous sommes les plus forts, nous faisons ce que nous voulons. Vous êtes un administré, non fonctionnaire, pauvre, vous n’avez aucun droit.

Je suis agent de nettoyage, smigard, comme Mme Dialo. Mais, elle est américaine. Pourquoi l’une obtient de mettre en jugement un cadre dirigeant et pas l’autre ?

J’ai été violé dans un commissariat : pour entraver la justice, entériner des faux en écriture publique, faire fonctionner une association de malfaiteurs entre policiers judiciaires et voyous civils, terroriser les victimes cette activité criminelle officielle, organiser leur spoliation, leur mise en danger mortel.

Certes, il n’y a pas eu pénétration. Car je n’ai pas résisté. Comme toutes les victimes de viol, et j’avais déjà été violé, j’ai été en état de sidération. Le père de famille que les policiers spoliaient de son appartement fut aussi terrorisé, paniqué, entièrement asservis, par ce viol.

C’était d’ailleurs la finalité explicite de ce viol : faire cesser toute contestation de la légalité de l’action criminelle des voyous de la police judiciaire.

Les syndicalistes policiers appellent viol la pénétration par des voyous dans un appartement. Il s’agissait d’user de cette agression pour me détruire et terroriser les victimes pour les forcer, sous couvert de menace de viol, à donner la clé de leur appartement au chef de la police judiciaire afin que celui-ci la donne au représentant des voyous. Celui-ci est devenu, suite à cette séance de torture, l’occupant unique de l’appartement. Mme la préfète de région à confirmé le bien fondé de l’attribution de l’appartement à la victime en lui en attribuant un autre d’office.

C’est plus grave que l’agression sexuelle subie :
- Dans les locaux de l’Ecole de police par une stagiaire de la part de cinq élèves policiers.
- Par Mme Banon.
Dans les deux cas, il n’y a pas eu pénétration. Une plainte pour tentative de viol a été acceptée.
Pourquoi le procureur de la République accepte t’il leurs plaintes, et pas la mienne ?

Le droit interdit ces distinctions entre les français. Art. 1er : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. ».

Il est manifeste que l’institution judiciaire ne veut pas juger les collègues statutaires et syndiqués de l’Etat au profit d’un particulier qu’ils méprisent tant par son extériorité à l’Etat que par son statut social.

Les criminels ordinaires de ce dossier sont des collègues statutaires et syndiqués, des fonctionnaires, des membres de corps, de policiers, de magistrats, de médecins fonctionnaires, de préfets, sous-préfets.

Les criminels spécifiques de cette plainte sont des magistrats. C’est un magistrat qui a commis ce faux volontaire, c’est un autre magistrat qui a commandé mon enlèvement, à des fins de tortures pour me faire retirer la plainte contre la police, c’est encore un magistrat qui a couvert le viol, les faux, l’association de malfaiteurs, initiaux. Ils l’ont tous fait en réunion.

Ce faux invalide la décision de la Cour de Cassation et par conséquent toute la procédure mise en barrage à l’ouverture d’une instruction sur les plaintes que j’ai déposées.

Bien sur que vous ne condamnerez jamais ces criminels. Vous en êtes incapables. Mais comme des millions de victimes de fonctionnaires dans le monde je demande que les crimes de ces officiels soient reconnus et jugés.

Je suis certes à vos yeux une sous merde. Mais comme Mme Dialo j’ai des droits. Je vous prie de les respecter et de les faire respecter dans le cadre de vos fonctions pour l’exercice desquelles je paie les impôts fixés par le parlement. A ce titre j’ai aussi le droit à l’accès au service public de la justice auquel, par la force et la forfaiture, jusqu’à présent on m’empêche d’accéder.

J’espère que vous n’avez pas les manies de la Cour d’appel de Versailles. Celle-ci envoie sa décision six mois après la date à laquelle elle a été prise. De cette façon, le recours à la CEDH n’est plus possible.

Contrairement aux Etats-Unis, ici, je ne trouverai jamais d’avocat. Je me suis fait insulté par les avocats des consultations gratuites du barreau, y compris par racisme. Ni les avocats, ni l’AJ n’acceptent de couvrir une affaire qui oppose un pauvre aux fonctionnaires d’Etat, ou un pauvre à des propriétaires. Une avocate m’a dit expressément qu’aucun avocat n’acceptera de traiter ce dossier pour le prix de l’AJ. Ce qui correspond à mon expérience. Laquelle figure dans le dossier.

Je n’ai pas connu un seul avocat qui ne prenne parti pour la partie adverse lorsque ses clients sont des pauvres, des faibles, des handicapés mentaux, et que la partie adverse est composée de fonctionnaires ou de propriétaires.

La presse n’est pas meilleure. J’entends encore le rire strident de la journaliste du Monde : « Hahahaha, ha non M. Salomone, pas ça ! Nous ne sommes pas en Argentine ! ».

C’est donc à vous seul qu’il appartient d’examiner la validité de la plainte. Cela réclame juste d’être honnête.

Je ne me fais aucune illusion sur les magistrats. Tous les membres du parquet auxquels j’ai eu à faire ont été des crapules, à l’image des autres fonctionnaires. C’est en toute connaissance de cause que les magistrats, ont soutenu activement l’association de malfaiteurs entre les flics et les voyous. Les magistrats savaient qu’ils concouraient à l’organisation de la spoliation d’une famille vulnérable, à son asservissement à des pratiques maffieuses ; que les policiers se serviraient de cette famille comme fusible judiciaire ; qu’ils concouraient à la destruction morale et physique de ces personnes vulnérables, voire à leur destruction carcérale ; qu’ils permettaient l’organisation du viol, de la torture, des faux en écriture publique. Le parquet a essayé de faire acquitter, puis libérer, le seul voyou que j’ai pu entraîner au procès avec l’aide du Garde des Sceaux Perben, en dépit de la forfaiture du juge d’instruction et des deux avocats des victimes. Le parquet s’est allié avec d’autres acteurs légaux du droit pour permettre au voyou de ne pas payer les dommages et intérêts dus aux victimes. Les magistrats concernés ont tout fait pour mon élimination physique et sociale, sciemment, volontairement et en réunion. Les magistrats concernés, comme les policiers, les autres, sont aussi des syndicalistes. Ces syndicats jouent un rôle actif dans la subordination de l’Etat aux dérives des corporatismes. Vous ne pouvez pas dire que ce qui a été fait l’a été par inadvertance.

La haine criminelle à l’égard des faibles, des handicapés mentaux, des personnes vulnérables, des pauvres, est au cœur de votre politique judiciaire. C’est en toute connaissance de cause que cette famille a été utilisée pour installer des voyous dans la vie publique. C’est parceque la maîtresse de maison était une handicapée mentale que les policiers ont soutenu les voyous qui voulaient l’asservir et que les magistrats ont garanti leur action. Cet usage des handicapés mentaux à des fins de régulations entre les pouvoirs publics et les voyous est même devenu une règle. Cela relève de la jurisprudence de Nuremberg.

Je n’ai eu à faire jusqu’à présent qu’à des crapules, des voyous, des droits communs, des tortionnaires, des violeurs, des salauds, des criminels. Tous volontaires, agissant avec réflexion et en réunion.





L’installation des voyous dans la vie publique fut l’objet de cette action criminelle concertée de la police judiciaire. Nous en voyons aujourd’hui la progression. Jamais la criminalité n’a joué à ce point un rôle dans l’organisation de la vie publique par la division nationale.

La disqualification de la magistrature du fait des fautes de ses membres se remarque dans la recherche constante par les français d’instances supérieures pour juger la décision rendue. Justice européenne, justice privée, justice constitutionnelle, justice syndicale, les moyens d’échapper aux magistrats français ne manquent pas.

Il est patent que désormais, plus aucune caste dirigeante n’admet que ses membres soient jugés, et surtout, condamnés.

Qui reste ? Ceux qui ne peuvent pas partir.

Ce délitement organise une inégalité féodale de droit entre les justiciables. C’est le rêve américain pour les justiciables tels M. Tapie. C’est le cauchemar pour les victimes de l’hospitalisation d’office. C’est le retour à l’état de citrouille pour la plupart.

Rien ne remplacera une magistrature honnête.

Nous voyons sous nos yeux se mettre en place une sorte de double « situation » juridique. Le même droit, les mêmes appareils de droit, distribuent les populations en deux catégories. Celles pour lesquelles les accidents sont toujours criminels. Celles dont les crimes sont toujours accidentels. L’accession à la qualification judiciaire tend à s’identifier à l’appartenance à une population. L’incapacité à obtenir une telle qualification formalise aussi l’appartenance à une population.

Des milliers d’hommes sont morts sur les plages de Normandie pour mettre fin à un tel régime juridique. La Princesse Elisabeth Windsor y était. De la même façon, la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, annexée à la Constitution, est signée Louis XVI.

Cette exigence partagée de l’universalité du droit, c’est ce que dans cette affaire des fonctionnaires et magistrats français combattent.

C’est à vous de regarder cette criminalité officielle en face et de nommer un juge d’instruction. Sans avoir une mitraillette américaine dans le dos. La criminalité officielle n’est pas plus acceptable qu’aucune autre. Je cherche juste un magistrat honnête.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Procureur de la République, mes salutations distinguées,

Marc Salomone

Ouvrier du nettoyage

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