vendredi, avril 12, 2024

12.04.24; defontaries, European elections, social, societal,

Marc Salomone/ marcsalomone@sfr.fr / blog: madic50 / Book: The two forms


REFLECTION ON THE PERFORMANCE OF LÉON DEFFONTAINES, HEAD OF THE LIST OF THE FRENCH COMMUNIST PARTY IN THE EUROPEAN ELECTIONS OF JUNE 9, 2024.


The performance of the leader of the communist list at the European elections, Léon Deffontaines, is well defined by him during his presentation.

He says that the time is for the “societal” (sex, women, religion, etc.) and that he wants to return to the “social” (production, workers).

This declaration is one of the keys to the originality and defeat of the French Communist Party.

I stick to him but the Chinese Communist Party, for example, has the same difficulties.

The CGT executives, here and there, spontaneously take up this opposition and this placement in it.

Deffontaines thinks that he is building an opposition and that he is occupying one pole against another.

This is only partially true.

At a time, now bygone, the communists could privilege, to the point of exclusivity, the "production", "social" component of the public ideology which they themselves say is dual (societal and social) .

It worked again in May 68 in the face of the so-called student or leftist Maidan operation.

In 1981, when its common program was the official basis of the left, the PCF lost because the French also wanted to “dream”.

This pseudo dream was no longer that of the “social” of “property”, of the “revolution”, but that of the “societal”, of sex, feminism, religions, races, time to live, etc.

The societal discourse had become the national reference when the social discourse allowed itself to be marginalized.

It remains for Deffontaines to believe that he will rally up to 5% of “social” voters by uniting them against the supporters of the “societal” (from the PS to the macronie).

For the moment, it would not reach the 3% which allows the reimbursement of campaign costs.

It is reasonable to think that he fell in the polls from 5% to 2% precisely because of this selectivity in his positioning.

He ends up with a pretty weak “social” program. A bit of angry socialism and a call for a return to anti-feudal jacqueries; when he says regarding the rich “we have the addresses”.

He does not mention any European communist or democratic connections.

Amiens is certainly a beautiful city and its inhabitants are beautiful people, but it is no match for a European election.

Between Glucksmann who says “When I go to New York or Berlin, I feel more at home, a priori, culturally, than when I go to Picardy” and Deffontaines who places Amien at the center of the world, what difference?

Regarding the European Treaties, it was Glucksmann who denounced the key principle of “free and undistorted competition”.

Deffontaines sticks to an avalanche of denunciation of its effects. Like any right or left politician during the campaign.

He remains a follower in societal evocations.

Concerning women, he considers the constitutionalization of the Veil law as a revolutionary advance while it repeats an achievement by repeating its weaknesses, namely the institutional subordination of women to men.

Faced with war, he took up Mélenchon's cry (peace, peace, peace!) while obligingly defending the Ukrainian position. The very one that caused the war.

In short, he doesn't innovate anywhere, he doesn't stand out from anyone when he deals with a subject,

How would it attract the attention of voters outside of a group of activists and nostalgics?

To take off and pass the two bars of reimbursement (3%) and representation (5%), it needs both:

a- understand that he must walk on his own two legs (social and societal).

b- present on the one hand a more serious, more European, more positive “social” program, other than that of building a bunker.

c- present an innovative “societal” program.

Maman Veil is dead and buried; her skirts too.

Women do not live in anxiety about American decisions.

On the other hand, they would surely appreciate, including in Amiens, that a party offered them the right to occupy half of the seats in all public administrative departments with an option on the private and public-private sectors (such as associations) .

A part of France, even in Amiens, would surely be interested in the evocation of a judicial power which requires a passage through elections.

The Ordinance of 1945, sexual instruction, etc. are debated with passion.

Does Deffontaines have anything to say other than denouncing the far-right devil?

The answer seems to be negative.

Deffontaines himself defined a scope of intervention, the social one. Instead of making it a springboard, he makes it a bunker.

The world passes by and continues on its way without really seeing it.

Deffontaines must therefore reflect on this duality of the public debate in which he takes a blind position and understand that the people of Amiens, among others, will not vote for what has already been voted for but to move forward. .

You just have to trust them and it will be reciprocal.

To begin theoretical reflection and take action, I invite everyone to read “The Two Forms” by Marc Salomone.

Knowing that a political fight is fought by walking.

Thank you for your attention,


Marc SALOMONE


12.04.24; deffontaires, elections européennes, social, sociétal,

 

Marc Salomone/  marcsalomone@sfr.fr / blog : madic50 / Livre : Les deux formes


REFLEXION SUR LA PRESTATION DE LÉON DEFFONTAINES,  TÊTE DE LISTE DU PARTI COMMUNISTE FRANÇAIS AUX ÉLECTIONS EUROPÉENNES DU 9 JUIN 2024.

La prestation du chef de fil de la liste communiste aux européennes, Léon Deffontaines, est bien définie par celui-ci au cours de son exposé.

Il dit que le temps est au « sociétal » (le sexe, les femmes, la religion, etc.) et qu’il veut revenir au « social » (la production, les travailleurs).

Cette déclaration est une des clés de l’originalité et de la défaite du Parti communiste français.

Je m’en tiens à lui mais le Parti communiste chinois a par exemple les mêmes difficultés.

Les cadres de la CGT, ci et là, reprennent spontanément cette opposition et ce placement dans celle-ci.

Deffontaines pense qu’il construit une opposition et qu’il en occupe un pôle contre un autre.

Ce n’est que partiellement vrai.

A une époque, désormais révolue, les communistes pouvaient privilégier, jusqu’à l’exclusivité, la composante « production », « sociale », de l’idéologie publique dont ils disent eux-mêmes qu’elle est duale (sociétal et social).

Ça a encore marché en Mai68 face à l’opération Maïdan, dite étudiante ou gauchiste.

En 1981, alors que son programme commun était le socle officiel de la gauche, le PCF a perdu parce que les français voulaient aussi « rêver ».

Ce pseudo rêve n’était plus celui du « social » de la « propriété », de la « révolution », mais celui du « sociétal », du sexe, des féminisme, des religions, des races, du temps de vivre, etc.

Le discours sociétal était devenu la référence nationale quand le discours social s’est laissé marginalisé.

Il reste à Deffontaines à croire qu’il ralliera jusqu’à 5 % d’électeurs acquis au « social » en les fédérant contre les partisans du « sociétal » (du PS à la macronie).

Pour l’instant, il n’atteindrait pas les 3 % qui permettent le remboursement des frais de campagne.

Il est permis de penser qu’il a baissé dans les sondages de 5 % à 2 % justement en raison de cette sélectivité dans son positionnement.

Il se retrouve avec un programme « social » assez faible. Un peu de social colérique et un appel du pied à un retour des jacqueries antiféodales ; lorsqu’il dit concernant les riches « nous avons les adresses ».

Il n’évoque aucune liaison communiste ou démocrate européenne.

Amiens est sûrement une belle ville et ses habitants de bels gens, mais ça ne fait pas le poids dans une élection européenne.

Entre Glucksmann qui dit « Quand je vais à New-York ou à Berlin, je me sens plus chez moi, a priori, culturellement, que quand je me rends en Picardie » et Deffontaines qui place Amiens au centre du monde, quelle différence ?

Concernant les Traités européens, c’est Glucksmann qui a dénoncé le principe clé de « la concurrence libre et non faussée ».

Deffontaines s’en tient à une avalanche de dénonciation des effets de celle-ci. Comme n’importe quel politicien de droite et de gauche le temps de la campagne.

Il reste suiviste dans les évocations sociétales.

Concernant les femmes, il tient la constitutionnalisation de la loi Veil comme une avancée révolutionnaire alors qu’elle répète un acquis en en répétant les faiblesses, à savoir la subordination institutionnelle des femmes aux hommes.

Face à la guerre, il reprend le cri de Mélenchon (la paix la paix la paix!) tout en défendant obligeamment la position ukrainienne. Celle-là même qui a provoqué la guerre.

En bref, il n’innove nul part, il ne se démarque de personne quand il traite un sujet,

En quoi éveillerait-il l’attention des électeurs en dehors d’un quarteron de militants et de nostalgiques ?

Pour décoller et passer les deux barres du remboursement (3%) et de la représentation (5%), il lui faut à la fois :

a- comprendre qu’il doit marcher sur ses deux jambes (social et sociétal).

b- présenter d’une part un programme « social » plus sérieux, plus européen, plus positif, autre que celui de la construction d’un bunker.

c- présenter un programme « sociétal » novateur.

Maman Veil est morte et enterrée; ses jupons aussi.

Les femmes ne vivent pas dans l’angoisse des décisions américaines.

Par contre, elles apprécieraient sûrement, y compris à Amiens, qu’un parti leur propose d’occuper de droit la moitié des sièges de toutes les directions administratives publiques avec une option sur le privé et le public-privé (telles que les associations).

Une partie de la France, même à Amiens, serait sûrement intéressée à l’évocation d’un pouvoir judiciaire ce qui impose un passage par les élections.

L’Ordonnance de 1945, l’instruction sexuelle, etc. sont débattues avec passion.

Deffontaines a-t’ il quelque chose à dire autre que de dénoncer le diable d’extrême droite ?

La réponse est semble-t-il négative.

Deffontaines défini lui-même un périmètre d’intervention, le social. Au lieu d’en faire un tremplin, il en fait un bunker.

Le monde passe à coté et continue sa route sans vraiment le voir.

Il faut donc, que Deffontaines réfléchisse à cette dualité du débat public dans laquelle il prend position de manière aveugle et qu’il comprenne que les amiénois et amiénoises, entre autre, ne voteront pas pour du déjà-voté mais pour aller de l’avant.

Il faut juste leur faire confiance et elle sera réciproque.

Pour commencer une réflexion théorique et prendre des repaires d’action, je convie chacun à lire « Les deux formes » de Marc Salomone.

En sachant qu’un combat politique se fait en marchant.

Je vous remercie pour votre attention,

Marc SALOMONE

12.04.24, ordinance of 1945, minors, crimes, excuse of minority, propositions, joint criminal responsibility, excessive consequences of legal action, public aims of criminals, denunciation, denunciation.

 

Marc Salomone / Email: marcsalomone@sfr.fr

blog: madic50.blogspot.com / Book: The Two Forms (Amazon)


Paris, Friday April 12, 2024


REFLECTION ON THE MINORITY EXCUSE AND PROPOSALS RELATING TO MINOR DELINQUENCY


On Sunday January 7, the media informed us that a bill was being prepared to challenge the minority excuse for minors, on the grounds that they are massively used by adult networks because of this legal protection.

In the wake of a series of murders committed by minors, sometimes accompanied by adults, jurists vouch for the legality of such an orientation.

That would be a mistake.

Its success would result in contempt for Parliament, the Government, justice and public administration from which their memory would not recover.

Indeed, no one will dare to take upon themselves the consequences, ignoble for minors, infamous for adults, of this return to a system of age confusion whose villainous effects are so spectacular that they are the direct cause of the Ordinance of 1945 taken by the Provisional Government of the French Republic.

The rebirth of France made it necessary to relieve it of this crime.

Furthermore, apart from measures to control criminality or the irresponsibility of certain parents; shifting primary responsibility for juvenile delinquency onto parents is a night when all cows are gray.

Good luck to those who will be responsible for formulating or implementing the directives. It is true that no parliamentarian, minister or senior civil servant will respond.

To say that the mafiosi massively use minors and to conclude that the blame must be placed on the latter on the indications of the former is an intellectual and public order logic of extraordinary elevation.

It is inaccessible to those whom some call the Populace.

However, it is the latter that must account for this conjunction of public order strategies of mafia networks and official networks; this good understanding of adults from all sides on the bodies of children.

On the other hand, if the government wants to give the police, the judiciary, the psychologists, legal or voluntary stakeholders the means to act usefully, efficiently and humanely, without involving society in disgust and crime, it there are things to do.

I briefly outline some of them here.

1)- Criminal co-responsibility

When an adult is “accompanying” a minor thus “accompanied” in the commission of an offense, he assumes joint criminal responsibility for the offense.

The law defines the status of accompanying and accompanied person.

The minor is judged according to the law on minors and therefore the excuse of minority.

The adult is judged for the same offense according to the Penal Code.

The same goes for the mentally handicapped.

For example :

a- young Nahel, 17 years old, drove a Mercedes car, a high-end car. It was not stolen. He didn't get it alone.

If the “accompanies” who provided him with this car were co-responsible for the misconduct resulting from this loan, but also co-responsible for the death of this minor due to these misconduct caused by the supply of this vehicle, the prior reports of these “accompanied” minors to their “accompanying” adults would no longer be the same.

b- multiple minors drive wrongfully (intentionally) in the company of an adult.

If this adult were co-responsible for the refusals to comply and the injuries caused by these faults, including to the minors, the relationship between them would no longer be the same.

c- We are told that the settling of scores at the Kalashnikov is increasingly carried out by minors.

If the "accompanies" who supply weapons, sponsor the murders, benefit from the action, were co-responsible for the homicides caused, they being judged as adults and the minor benefiting from the excuse of minority, for the same homicide, the relationships between they would inevitably evolve.

d- if an adult takes joint criminal responsibility for all rapes or assaults committed by minors in his gang, even if he himself remained a spectator, or even absent from the places where the offenses were committed, the reports of each would change.

Such a system would give police officers the means to approach juvenile delinquents, their parents, their entourage, with weapons other than those of powerlessness with regard to the famous networks and subordination to the dictates of their leaders or even their leaders. leaders.

This implies the obligation for magistrates to look for the major origins of juvenile crime.

Where is the need to break with the principles of the 1945 Ordinance?

2)- Compensation for excessive consequences of legal action

The gendarmes who killed Adama Traoré would certainly have been happy if there had been a legal system to protect them from the excessive (here fatal) consequences of their legal action.

Nothing has changed since Adama Traoré.

Still :

The distinction between the fault and the legality of the action is only established after a procedure lasting several years which destroys the agents of the State, erodes the authority of the latter, annoys the civil parties and the public of more and more often mobilized.

Defeat the State or live abandoned by justice, this is the dilemma imposed on the populations concerned.

However, it is possible to establish a procedure which guarantees the rights and dignity of litigants.

Is the death of the citizen legal or illegal?

1- Is it the consequence of a criminal action by a civil servant and therefore illegal?

In this case, justice takes its course as with all crimes.

The legality of the action concerns its entirety.

When a police officer uses the legal arrest of a man who is standing up to him to tackle him to the ground and choke him with his knee, it is possible that he is committing a crime and that he must be judged.

2- Is it a logical or possible consequence of his mode of opposition to the authorities and therefore legal?

The death of a man does not imply that the legal action was wrongful.

In this case, the courts having established the fact refer the police officers to the continuation of their professional occupations.

B- The qualification of the excessiveness of the consequences of the intervention

The legal death of a citizen can result either from his direct confrontation with the police (the case of terrorists), or during the legal action of the police.

What creates new political disturbances to public order and which must be taken into consideration is the indistinction between death due to a voluntary confrontation of the citizen towards the forces of order and death due to an entanglement of causes independent of the legality of the intervention and the desire of officials to kill.

Whether the police action is legal or not, no one should die as a result of a police check and the public no longer accepts this death as obvious.

How can we account for these distinctions between justified, criminal and innocent lethal actions on the part of the holders of public authority?

This is possible by the creation of a new legal qualification which is that of “excessive consequence of a legal action”.

The death or disability of the subject occurred during the course of legal intervention, however, they do not relate to either police crime or the criminal nature of the fault of the subject.

In this case, justice takes note of this situation and compensation for the victims or beneficiaries is immediate.

Any professional misconduct is judged within the profession and any administrative misconduct is judged as such.

Concerning the civil party, the judges initiate legal action for compensation, consistent and not ridiculous, in such a way that it does not burden the public treasury. It's possible.

Justice is thus done and all parties are included in its action.

It is true that everyone is put in their place and that some are upset.

3)- Taking into account the public aims of criminals.

When a criminal sprays the facade of a building with a Kalashnikov and one of the bullets hits a student in her sleep, he only has to say that he was only targeting the competing thug on the first floor to be exonerated of the desire to kill the other inhabitants.

The media trumpets call the death of this young woman “collateral damage” and the shots are “stray bullets”. The victims “were in the wrong place at the wrong time,” etc.

It's a hunting accident.

If he has not reached his intended alter ego, the thug avoids voluntary homicide for involuntary homicide. Nice gift.

This is based on the identification of offenders with individual or corporate action. They are not recognized as having a political desire to terrorize a population to impose mafia laws even if, initially, they are only those of the village rooster.

However, we are no longer there. Bullets are not lost any more than victims are collateral. The presence of the victims is not incongruous.

This criminal came here because there was a population on which he wanted to impose his law by taking back the territory of his competitor. He addressed her while sweeping the facade of his safe haven with bullets.

The intention and plenary responsibility are there.

The thug who sprays a place with Kalashnikov and arrogates to himself the right to terrorize a population acquires the status of civil servant or strategist of crime and as such all the deaths that result from it are included in his program and therefore intentional and of his sole authority, regardless of complicity.

Instead of announcing that they are lost to the bullets, the state has something to say to residents.

4)- Denunciation, anonymous or signed

The law must guarantee all citizens, alone or in meetings, to be able to send to the authorities reports of facts they witness, information, denunciation, signed or anonymous, a regular report, transmit names, contact details, behavior, on the sole condition that this correspondence is exact or in good faith.

Under this condition, citizens are perfectly able to judge whether anonymity is the form of intervention that suits them.

It is not entirely by chance that today the mafia dominate large territorial, even public, sectors, and that for around thirty years various piss-copies have associated denunciation, and particularly anonymous denunciation, with Collaboration in the worst crimes, infamy, dishonor.

Some do it out of intellectual idleness, others out of stupidity, but certainly not all.

Many did so to prepare the public ground for the future role of thugs in public life. They continue to do it to make honest people feel guilty and guarantee the safety of the mafiosi.

It is imperative to rehabilitate the denunciation, whether signed or anonymous.

Computer science provides the means to process mass information.

It is grotesque to reduce information on delinquency and crime to that of professionals, particularly when the villainous attack against society becomes a mode of organizing it.

The action of professionals has its space and its specificity.

It neither erases nor replaces the participation of the entire population in informing state agents, elected officials and the public.

The law organizes this participation. It can neither prohibit it nor slow it down and even less disqualify it.

The French administrative media culture has established itself in the discrediting of the collaboration of honest people and the police.

However, when thugs engage population policies, the responses necessarily rely on the institutional participation of the populations.

Approaching the 21st century with an administrative thought of a dreamed 3rd republic is a guarantee of defeat.

Conclusion

For the sole reason of their minority, General De Gaulle pardoned militiamen under the age of 21 (a minority at the time) sentenced to death in 1944. Their crimes, however, were beyond comprehension and their capacity to carry them out excluded them a priori. pity.

This is because, in fact, there is no need to dishonor oneself to serve public order, give representatives of the State the legal means to work, and guarantee justice and tranquility to the population.

Thanking you for your attention,


Marc SALOMONE

12.04.24, ordonnance de 1945, mineurs, crimes, excuse de minorité, propositions, coresponsabilité pénale, conséquences excessives d'une action légale, visées publiques des criminels, dénonciation, délation.

Marc Salomone /Courriel : marcsalomone@sfr.fr

blog : madic50.blogspot.com / Livre : Les Deux Formes (Amazon)


Paris, le vendredi 12 avril 2024


RÉFLEXION SUR L’EXCUSE DE MINORITÉ ET PROPOSITIONS RELATIVES A LA DÉLINQUANCE DES MINEURS

Le dimanche 7 janvier, les média nous informent qu’un projet de loi est en préparation pour mettre en cause l’excuse de minorité des mineurs, au motif qu’ils sont massivement utilisés par des réseaux adultes en raison de cette protection juridique.

Dans la foulée d’une série de meurtres commis par des mineurs, parfois accompagnés de majeurs, des juristes se portent garant de la licéité d’une telle orientation.

Ce serait une faute.

Sa réussite entraînerait à l’égard du Parlement, du Gouvernement, de la justice, de l’administration publique, un mépris dont leur mémoire ne se relèverait pas.

En effet, personne n’osera prendre sur soi les conséquences, ignobles sur les mineurs, infamantes pour les adultes, de ce retour à un dispositif de confusion des âges dont les effets crapuleux sont si spectaculaires qu’ils sont la cause directe de l’Ordonnance de 1945 prise par le Gouvernement provisoire de la République française.

La renaissance de la France imposait de la décharger de ce crime.

Par ailleurs, hormis des mesures propres à maîtriser la criminalité ou l’irresponsabilité de certains parents ; le report sur les parents de la responsabilité principale de la délinquance des mineurs est une nuit où toutes les vaches sont grises.

Bonne chance à ceux qui auront la charge d’en formuler ou d’en appliquer les directives. Il est vrai que plus aucun parlementaire ni ministre ni haut fonctionnaire ne répondra alors présent.

Dire que les maffieux utilisent massivement les mineurs et en conclure qu’il faut reporter la faute sur ces derniers sur les indications des premiers est une logique intellectuelle et d’ordre public d’une élévation hors du commun.

Elle est inaccessible à ceux que d’aucuns appellent la Populace.

C’est cependant à celle-ci qu’il faudra rendre compte de cette conjonction des stratégies d’ordre public des réseaux maffieux et des réseaux officiels ; cette bonne entente des adultes de tous bords sur le corps des enfants.

Par contre, si le gouvernement veut donner les moyens à la police-gendarmerie, à la justice, aux psy, aux intervenants légaux ou bénévoles, d’agir utilement, efficacement et humainement, sans impliquer la société dans le dégoût et le crime, il y a des choses à faire.

J’en expose ici succinctement certaines.

1)- La coresponsabilité pénale

Lorsqu’un majeur est « accompagnant » d’un mineur ainsi « accompagné » dans la commission d’une faute, il endosse la coresponsabilité pénale de celle-ci.

La loi définit la qualité d’accompagnant et d’accompagné.

Le mineur est jugé selon la loi sur les mineurs et donc l’excuse de minorité.

Le majeur est jugé, pour la même faute, selon le Code pénal.

Il en va de même pour les handicapés mentaux.

Par exemple :

a- le jeune Nahel, 17 ans conduisait une voiture Mercedes, voiture haut de gamme. Elle n’était pas volée. Il ne l’a pas eue tout seul.

Si les « accompagnants » qui lui ont fourni cette voiture étaient coresponsables des fautes de conduites consécutives à ce prêt, mais aussi coresponsables de la mort de ce mineur due à ces fautes de conduites occasionnées par la fourniture de ce véhicule, les rapports préalables de ces mineurs « accompagnés » à leurs majeurs « accompagnants » ne seraient plus les mêmes.

b- de multiples mineurs conduisent de manière fautive (volontaire) en compagnie d’un majeur.

Si ce majeur était coresponsable des refus d’obtempérer et des blessures occasionnés par ces fautes, y compris sur le mineurs, les rapports entre eux ne seraient plus les mêmes.

c- les règlements de compte à la Kalachnikov sont nous dit-on de plus en plus le fait de mineurs.

Si les « accompagnants » qui fournissent des armes, commandites les meurtres, bénéficient de l’action, étaient coresponsables des homicides occasionnés, eux étant jugés en majeurs et le mineur bénéficiant de l’excuse de minorité, pour le même homicide, les rapports entre eux évolueraient forcément.

d- si un majeur prend la coresponsabilité pénale de tous les viols ou agressions commis par les mineurs de sa bande, même s’il est lui-même resté spectateur, voire absent des lieux de commission des fautes, les rapports des uns et des autres changeraient.

Un tel dispositif donnerait aux policiers les moyens d’aborder les mineurs délinquants, leurs parents, leurs entourages, avec d’autres armes que celles de l’impuissance à l’égard des fameux réseaux et la subordination aux diktats de leurs animateurs voire de leurs chefs.

Cela implique l’obligation pour les magistrats de rechercher la filiation majeure de la criminalité des mineurs.

Où est la nécessité de rompre avec les principes de l’Ordonnance de 1945 ?

2)- L’indemnisation des conséquences excessives d’une action légale

Les gendarmes qui ont tué Adama Traoré auraient été certainement content s’il y avait eu un dispositif légal pour les protéger des conséquences excessives (ici mortelles) de leur action légale.

Rien n’a changé depuis Adama Traoré.

Aujourd’hui encore :

La distinction entre la faute et la légalité de l’action n’est établie qu’après une procédure de plusieurs années qui brise les agents de l’État, érode l’autorité de celui-ci, indispose les parties civiles et le public de plus en plus souvent mobilisé.

Vaincre l’État ou vivre dans l’abandon par la justice, tel est le dilemme imposé aux populations concernées.

Or, il est possible d’établir une procédure qui garantisse le droit et la dignité des justiciables.

La mort de l’administré est-elle légale ou illégale ?

1- Est-elle la conséquence d’une action criminelle d’un fonctionnaire et donc illégale ?

Dans ce cas, la justice suit son cours comme pour toutes les criminalités.

La légalité de l’action concerne l’entièreté de celle-ci.

Lorsqu’un policier se sert de l’interpellation légale d’un homme qui lui tient tête pour le plaquer au sol et l’étouffer avec son genou, il est possible qu’il commette un crime et que celui-ci doive être jugé.

2- Est-elle une conséquence logique ou possible de son mode d’opposition aux autorités et donc légale ?

La mort d’un homme n’implique pas que l’action légale ait été fautive.

Dans ce cas, la justice ayant établi le fait renvoie les policiers à la continuation de leurs occupations professionnelles.

B- La qualification de l’excessivité des conséquences de l’intervention

La mort légale d’un administré peut découler soit de son affrontement direct avec la police (le cas des terroristes), soit au cours de l’action légale des policiers.

Ce qui crée de nouveaux troubles politiques à l’ordre public et qui doit être pris en considération est l’indistinction entre une mort due à un affrontement volontaire de l’administré envers les forces de l’ordre et la mort due à un enchevêtrement de causes indépendantes de la légalité de l’intervention et de la volonté des fonctionnaires de tuer.

Que l’action policière soit légale ou non, nul ne doit périr des suites d’un contrôle policier et le public n’admet plus cette mort comme évidente.

Comment rendre compte de ces distinctions entre les actions mortelles justifiée, criminelles, innocentes, de la part des dépositaires de l’autorité publique ?

Cela est possible par la création d’une nouvelle qualification légale qui est celle de « conséquence excessive d’une action légale ».

La mort ou le handicap de l’administré a eu lieu dans le court de l’intervention légale, cependant, ils ne relèvent ni du crime policier ni du caractère criminel de la faute de l’administré.

Dans ce cas, la justice fait le constat de cette situation et l’indemnisation des victimes ou des ayant-droit est immédiate.

Les éventuelles fautes professionnelles sont jugées dans la profession et les fautes éventuelles de l’administration sont jugées comme telles.

Concernant la partie civile, les juges engagent une action judiciaire d’indemnisation, conséquente et non ridicule, de telle manière qu’elle ne grève pas le Trésor public. C’est possible.

La justice est ainsi rendue et toutes les parties sont incluses dans son action.

Il est vrai que chacun est mis à sa place et que d’aucuns en sont contrariés.

3)- La prise en compte des visées publiques des criminels.

Lorsqu’un criminel arrose la façade d’un immeuble à la Kalachnikov et que l’une des balles atteint une étudiante dans son sommeil, il lui suffit de dire qu’il ne visait que le voyou concurrent du premier étage pour être disculpé de la volonté de tuer les autres habitants.

Les trompettes médiatiques qualifient en coeur la mort de cette jeune femme de « dégât collatéral » et les tirs sont des « balles perdues ». Les victimes « étaient au mauvais endroit au mauvais moment », etc.

C’est un accident de chasse.

S’il n’a pas atteint son alter ego visé, le voyou évite l’homicidie volontaire pour l'homicidie involontaire. Joli cadeau.

Cela repose sur l’identification des délinquants à une action individuelle ou corporative. Il ne leur est pas reconnu une volonté politique de terroriser une population pour lui imposer les lois maffieuses même si, dans un premier temps, elles ne sont que celles du coq de village.

Or, nous n’en sommes plus là. Les balles ne sont pas perdues pas plus que les victimes ne sont collatérales. La présence des victimes n’est pas incongrue.

Ce criminel est venu ici parcequ’il y avait une population à laquelle il voulait imposer sa loi en reprenant le territoire de son concurrent. Il s’est adressé à elle en balayant de balles la façade de son havre de sécurité.

L’intention et la responsabilité plénière sont là.

Le voyou qui arrose un lieu à la Kalachnikov et s’arroge le droit de terroriser une population acquiert la qualité de fonctionnaire ou stratège du crime et à ce titre toutes les morts qui en découlent sont inscrites dans son programme et donc intentionnelles et de sa seule autorité, indépendamment des complicités.

Au lieu d’annoncer qu’ils sont perdus avec les balles, l’État a quelque chose à dire aux habitants.

4)- La dénonciation, anonyme ou signée

La loi doit garantir à tous les citoyens, seuls ou en réunion, de pouvoir adresser aux autorités des rapports des faits dont ils sont témoins, une information, une dénonciation, signée ou anonyme un compte rendu régulier, transmettre des noms, des coordonnées, des comportements, à la seule condition que cette correspondance soit exacte ou de bonne foi.

A cette condition, les citoyens sont parfaitement à même de juger si l’anonymat est la forme d’intervention qui leur convient.

Ce n’est pas tout à fait par hasard si aujourd’hui les maffieux dominent de larges secteurs territoriaux, voire publics, et si depuis une trentaine d’année des pisse-copies divers associent la dénonciation, et particulièrement la dénonciation anonyme, à la Collaboration, aux pires des crimes, à l’infamie, au déshonneur.

Les uns le font par désœuvrement intellectuel, les autres par bêtise, mais certainement pas tous.

Beaucoup l’ont fait pour préparer le terrain public au rôle à venir des voyous dans la vie publique. Ils continuent de le faire pour culpabiliser les honnêtes gens et garantir la sécurité des maffieux.

Il faut impérativement réhabiliter la dénonciation, signée ou anonyme.

L’informatique donne les moyens de traiter l’information de masse.

Il est grotesque de réduire l’information sur la délinquance et la criminalité à celle des professionnels, particulièrement quand l’attaque crapuleuse contre la société devient un mode d’organisation de celle-ci.

L’action des professionnels a son espace et sa spécificité.

Elle n’efface ni ne remplace la participation de l’ensemble de la population à l’information des agents de l’État, des élus et du public.

La loi organise cette participation. Elle ne peut ni l’interdire ni la freiner et encore moins la disqualifier.

La culture administrative française médiatique s’est installée dans le discrédit de la collaboration des honnêtes gens et de la police.

Pourtant, lorsque les voyouteries engagent des politiques de populations, les réponses reposent nécessairement sur la participation institutionnelle des populations.

Aborder le 21ème siècle avec une pensée administrative d’une 3ème république rêvée est un gage de défaite.

Conclusion

Au seul motif de leur minorité, le Général De Gaulle a gracié les miliciens de moins de 21 ans (minorité de l’époque) condamnés à mort en 1944. Leurs crimes dépassaient pourtant l’entendement et leur capacité à les assumer les excluaient à priori de la pitié.

C’est qu’en effet, il n’est nul besoin de se déshonorer pour servir l’ordre public, donner aux représentants de l’État les moyens légaux de travailler, et garantir à la population la justice et la tranquillité.

En vous remerciant pour votre attention,


Marc SALOMONE




lundi, avril 01, 2024

29.09.23, Pacem in Europa, Gericht, Kennedy, Jean dreiundzwanzig. Frieden, Ukraine, Russland, Europa, NATO, Krim, Primat des Krieges, Primat des Friedens,

 Marc Salomone / marcsalomone@sfr.fr /

Blog: madic50.blogspot.com / Buch: Die zwei Formen, hrsg. Amazon (materialistische Studie über die Besonderheiten der Beziehungen zwischen den beiden Geschlechtern und den Klassenkampf)

Paris, 26. September 2023


PACEM IN EUROPA

Angesichts des Formats, der Fülle an Dokumentationen und öffentlichen Diskussionen geht dieser Text von einer Bestätigung aus, um bestimmte Punkte für die Aufmerksamkeit der öffentlichen Debatte hervorzuheben.

Am 11. April 1963 veröffentlichte Papst Johannes XXIII. die Enzyklika PACEM IN TERRIS.

Am 10. Juni 1963 machte Präsident Kennedy einen Abstecher durch die amerikanische Universität, einen Ort des Wissens, um seine Gedanken zu den Themen eines kleineren Konflikts (Kuba) zu äußern, der eine große nukleare Konfrontation zwischen den beiden damals dominierenden Mächten beinhaltete .

Den englishen und französischen Text finden Sie auf madic50.blogspot.com.

Diese beiden Staatsoberhäupter sprechen über den „Weltfrieden“ in einem ähnlichen und in keiner Weise identischen Moment wie wir.

Sie tun dies durch die Darstellung von Wissensproduktion und politischer Reflexion.

Hier greife ich die intellektuelle und politische Logik von Präsident Kennedy auf, um sie heute der Öffentlichkeit vorzulegen.

Für diese Art von Krieg definierte Präsident Kennedy zwei Friedenslager. Die „Pax Americana“ oder der „Frieden der Gräber“, die er ablehnt, und der „authentische Frieden“, den er als „die dringendste unserer Aufgaben“ bezeichnet. Er listet politische Qualitäten auf, die für seinen Sieg nützlich sind.

Die erste basiert auf dem Primat des Krieges. Die zweite basiert auf dem Primat des Friedens.

In jedem Land stehen sich die Parteien gegenüber, die den einen oder anderen dieser Vorrang und die entsprechenden Mobilisierungen durchsetzen.

Abschließend sagt er: „Zuversichtlich und ohne Angst schreiten wir voran, nicht in Richtung einer Strategie der Vernichtung, sondern in Richtung einer Strategie des Friedens.“ »

Am 24. Februar 2023 startete Präsident Putin eine „Sonderoperation“ vom Typ „Präventivkriege“. Er fällt in die Republik Ukraine ein. Er trägt die Verantwortung dafür.

Dieser „Präventivkrieg“ stützt sich auf die israelische Rechtsprechung von 1967, die NATO- und amerikanische Rechtsprechung in Jugoslawien im Jahr 1999, in Afghanistan im Jahr 2001, im Irak im Jahr 2003 und in Libyen im Jahr 2011.

Dieser Krieg drängt seine Beweise auf, behauptet seine Wahrheiten und nimmt menschliche Qualitäten außer Acht.

Es monopolisiert alle Führungsnetzwerke und Medien.

Sie selbst definiert ihr Verhältnis zum Frieden und setzt ihre Lösung durch: Sieg durch Knockout.

Durch Krieg wird Frieden zu einer alternativen Wahrheit.

Dieser Krieg zeigt jedoch, dass Frieden nicht auf Krieg folgt.

Es ist ein vollwertiger politischer Weg zur Lösung dieses Konflikts.

Es ist das Primat des Krieges, das archaisch ist.

Frieden ist von Rechts wegen die Grundvoraussetzung für Wohlstand und geht jeden etwas an.

Nach 1914 und 1940 war Europa erneut ruiniert, geschwächt, unterworfen. Es gleitet in Richtung Südamerika.

Die Beweise für den Krieg sind das Ergebnis einer heimtückischen, kontinuierlichen, repressiven ideologischen Schulung.

In Frankreich wurde ab 1980 der gute alte, überholte feudale Reflex kriegerischer Beweise durch den überall sichtbaren linken Sektor des Rituals, der hysterischen Wiederholung und der phantasierten Ablehnung eines Münchner Geistes von 1938 wiederhergestellt.

Frieden wird zum Kriegstreiber.

Von nun an bekämpft der Krieg das Böse auf der ganzen Erde. Frieden ist das Werk des Bösen, des Hexenbesens.

Die Friedenspartei muss sich nicht der Logik des Bösen oder dem Vorrang von Ei oder Huhn anschließen.

Das einzige direkte Motiv für diesen Krieg ist der Wunsch der ukrainischen Regierungen, der NATO beizutreten.

Die NATO war an den Kriegen in Jugoslawien, Afghanistan, Libyen und Irak beteiligt. Sie ist eine Kandidatin für Asien.

Es handelt sich um eine eigenständige strategische Organisation.

Die NATO unterstützt konsequent eine Politik der kulturellen Intoleranz, der politischen Segregation, der ethnischen und sprachlichen Säuberung, insbesondere gegenüber Russen, Russland, Russen, Slawen und anderen.

Das Sezessionsreferendum vom 16. März 2014 resultierte aus der Aufhebung des geschützten Regionalsprachenstatus des Russischen in der Republik Krim am 23. Februar 2014.

Die Vernichtung der russischen Sprache ist seit 1989 in Polen eine amerikanische Forderung.

Seit 2014 führen die explizit nationalsozialistischen Strömungen der Ostukraine (siehe US-Senat) den Staat mit.

Die Verantwortung Russlands ist gewiss, aber diese Politik ist auch für den Bürgerkrieg im Westen und die Abspaltung der Republik Krim verantwortlich.

Europa ist besorgt über:

Der Niedergang der Demokratie durch das Verbot politischer Organisationen wie der Kommunistischen Partei, die Förderung der Nazi-Bewegung und ihre führende politische und militärische Rolle.

Die Subversion der zivilen Organisation Europäische Union durch die militärische Organisation NATO.

Die Überrüstung der europäischen Länder und die daraus resultierenden politischen Anforderungen.

Die Kriegspartei ist feudalpolitischen Ursprungs.

Die Friedenspartei lehnt diese Rückständigkeit des europäischen politischen Lebens ab.

Europa hat kein Interesse daran, dass die Russische Föderation den Hafen von Sewastopol verliert und was daraus folgt.

Im Jahr 1989 verfügte Europa durch die Führungskräfte und Bevölkerungen Osteuropas über eine beeindruckende sprachliche, kulturelle, kommerzielle und politische Streitmacht, um eine Brücke zwischen den Völkern Eurasiens, von Dublin über Samarkand nach Wladiwostok, zu bauen.

Warum sollte sie es verlieren?

Das Territorium der Ukrainischen Republik wurde 1945 gegründet und ist immateriell. Die Ukraine ist Gründungsmitglied der Vereinten Nationen.

Dies gibt der ukrainischen Regierung die Verpflichtung, mit ihrer gesamten Bevölkerung zu regieren. Es liegt an ihm, die Rechte dieser Bevölkerungsgruppen zu gewährleisten.

Allerdings verliert die Demokratie bereits.

Am 17. Mai 2022 werden 12 Parteien aufgelöst

Seit 2014 kommt es wieder zu einer Hetzjagd auf Kommunisten und der Einbindung von Nazi-Gruppen in die Machtbildung.

Die Rhetorik ist immer dieselbe.

Eine Regierung sagt, sie verbietet zwei identische Extreme: Nazis und Kommunisten.

Wie immer und ausnahmslos handelt es sich dabei um ein, auch militärisches, Bündnis mit den Nazis auf der Jagd nach Kommunisten.

Die Ukraine ist der Ort, an dem Juden, die sich zu einer regierenden politischen Partei zusammengeschlossen haben, die Regierungsverbündeten der Nazis sind.

Dies folgt einem langen Weg seit 1955, der auf die Vereinigung des westlichen Lagers abzielte, das seit 1945 durch die Kluft zwischen Juden und Nazis gespalten war.

Dies wird bereits jetzt sichtbare Konsequenzen für die Zukunft Europas, aber auch für die Interpretation der Vergangenheit haben.

In Frankreich gelobten Universitätshistoriker im Juni 2000 während einer Konferenz die Treue zur Logik, dass Hitler das Opfer Lenins sei.

Diese Umschreibung der Geschichte etabliert die Kriegspartei in Europa und destabilisiert die Demokratie.

Die Republik Krim ist eine politische Einheit (Republik) und keine Verwaltungseinheit (Oblast-Departement). Es kann nicht so verstanden werden, dass es sich historisch, ethnisch oder politisch offensichtlich um einen Interessenvertreter der Ukrainischen Republik handelt.

Jeder mit seinen Argumenten erkennt, dass es sich um eine umständliche Ergänzung handelt. Sie entscheidet, mit wem sie Umgang hat.

Der Hafen von Sewastopol ist der der russischen Marine.

Der Haftbefehl des Internationalen Strafgerichtshofs gegen Präsident Putin bringt den globalen Rechtsapparat in eine Position und blockiert jede Bewegung des Präsidenten der Russischen Föderation. Es behindert eindeutig Diskussionen auf höchster Ebene über alle Themen und insbesondere über Krieg und Frieden.

Damit zeigt die Kriegspartei ihren Willen aller Macht.

Es ist unverantwortlich.

Wieder einmal dienen Kinder als Streit der Erwachsenen.

Es gibt „vertriebene“ Kinder. Diese Transfers werden beurteilt.

Das Wort „Abschiebung“ hat in Europa eine Bedeutung. Die Ukrainer, Nazis, Juden, Demokraten wissen es.

Dieses rechtliche Verfahren rechtfertigt keinen gerichtlichen Eingriff in die Richtung der politischen Diskussionsprozesse zwischen den von diesem Konflikt betroffenen Staaten.

Dadurch entsteht eine deutliche Verwechslung zwischen Recht, Politik und Krieg. Dies wird zum Maßstab der Urteile.

Indem sie sich geschickt in einen politischen Streit militärischer Natur einmischen, tragen die Richter zur Verflechtung des Gordischen Knotens bei.

Salvete-Richter. Wir, die im Sterben liegen, grüßen Dich

Wie lange wird die westliche Partei in der Lage sein, diese von einer vergangenen Macht geerbten Urteile durchzusetzen?

Kein Gericht hat dies für den amerikanischen Staat, andere westliche Staaten oder deren Persönlichkeiten getan.

Es wäre viel komplizierter gewesen, mit dem Verweis auf den Begriff „Präventivkrieg“ zu beginnen.

NATO-Verbrechen in Jugoslawien werden nicht verurteilt, ebenso wenig die in Libyen.

Im August 2023 sagte die amerikanische Justiz den Prozess gegen die Mörder von 2001 ab. Die Enthüllung des Einsatzes von Folter im Verfahren und im Spiel der saudischen Verbündeten wäre peinlich gewesen. Aus !

Die Richter würdigen hier diejenigen, die für das reibungslose Funktionieren der internationalen Beziehungen von wesentlicher Bedeutung sind.

Präsident Putin ist keiner von ihnen.

Vor allem die Disqualifikation von 20 Millionen Frauen jeden Alters in Afghanistan ist den Richtern unbekannt.

1992, 1996, 2021, 2023 beteiligte sich die US-Regierung rechtlich am Sturz der legalen Regierung, an der Disqualifikation von Frauen und an der Erklärung der „Positivität“ der Taten von Kriminellen. Nichts.

In Frankreich weigerte sich die Justiz im Jahr 2022 geschickt, die mögliche Beteiligung von Journalisten im Jahr 1992 an der Politik der Disqualifikation von Frauen als leitende Struktur des politischen Programms, also in einem Kriegsverbrechensverfahren und der Mittäterschaft bei Verbrechen, zu prüfen gegen die Menschheit. Vor allem zwischen uns selbst.

Europa ist weder in der Raumfahrt noch in der KI führend, es ist schwach in der Klimawende, viele seiner Mitbürger essen nicht mehr jeden Tag.

Es gibt jedoch viel Geld für eine so archaische Aktion wie einen Hahnenkampf im Dorf aus, der wahrscheinlich zu einem Atomkonflikt führen wird. Durch eine kakochyme Wiederholung der Blockadepolitik ordnet es ihm seine Wirtschaft unter.

In Europa setzt die Kriegspartei die Deutschen Ritter für die Eroberung des Ostens und die Tempelritter für die Vorherrschaft des Privateigentums über öffentliches Eigentum und die Identifikation privater Kräfte mit öffentlichen Autoritäten fort.

In Russland behauptet er den Zarismus gegen die bürgerliche, weltliche und demokratische Macht. Es handelt sich in etwa um die gleiche Konfiguration, die in einer jahrhundertealten Konfrontation mit dem gegnerischen Lager errichtet wurde.

Beide Lager haben die gleichen Praktiken.

Der Verzicht auf den Zarismus auf der einen und die Eroberung auf der anderen Seite werden für einen „authentischen Frieden“ und nicht für eine „Pax Americana“ notwendig sein.

Die Kriegspartei zeichnete sich dadurch aus, dass sie Jugoslawien, Afghanistan, Irak, Libyen usw. „Demokratie“, „Rechtsstaatlichkeit“, „Frieden“ brachte.

Er muss die Führung des Krieges der Friedenspartei überlassen.

Der Frieden wird diese Regierungen ihrem Volk gegenüberstellen. Wir verstehen ihre Befürchtungen.

Menschen, die gehasst oder verehrt werden, sind lebend für die Menschheit nützlicher als tot, wenn Frieden für alle gilt.

Wie in früheren europäischen Krisen sind wir aufgefordert, uns selbst zu hinterfragen.

Frieden erfordert ein sofortiges, bedingungsloses und ohne Verhandlungen erfolgendes Ende der Kämpfe. Hören Sie auf zu kämpfen und Vorräte anzuhäufen.

Die Staatsoberhäupter werden aufgefordert, zu zeigen, was sie können.

Alle Europäer sind besorgt und verpflichtet, den Primat des Friedens durchzusetzen.

Marc SALOMONE