dimanche, septembre 28, 2014

sarkzoy, députée, viol, aide juridictionnelle, appel, mensonge, 27.09.2014



Paris samedi 27 septembre 2014

A RAPPELER DANS TOUTE CORRESPONDANCE
Numéros BAJ:
20I4/34867/34868/34869/34870
5 demandes
Section - Division : 1 - 09
Date de la demande : 30.06.14
Numéro R.G. :
Avocat: Me


RAR


Président du BAJ


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Copie à :
Président de la République
Premier Ministre
Garde des Sceaux
Président de la Cour d’Appel
Procureur général
Président du TGI
Procureur de la République
Bâtonnier


Ci-joints : copies des décisions contestées et lettre de Mme la Ministre



Monsieur le Président,

J’ai l’honneur d’accuser réception et de faire Appel des 4 décisions, concernant les demandes d’AJ du 30.06.14, de la « Notification d’une décision rendue par le Bureau d’aide juridictionnelle». (BAJ). Elle est datée du 12.09.14. Elle a été envoyée le 16.09.14 par RAR. Elle a été reçue le 18.09.14 et disponible à la poste le 19.09.14.

Elle fait suite à la réception de la lettre de Mme la Garde des Sceaux sous le couvert de Mme Cécile ROUY-FAZI, Chef du BAJ, (SADJAV). Elle est datée du 15.09.14. Elle a été envoyée le 15.09.14 et reçue le 18.09.14.

1- Je vais d’abord étudier votre Notification et répondre à la question de l’Appel. 2- Ensuite, j’étudierai les rapports qu’il y a entre les deux textes.

Première partie : La Notification
1)- Les 5 rejets
Le BAJ rejette 5 demandes d’Aides juridictionnelles. (AJ).
Numéros BAJ: 20I4/34867/34868/34869/34870/38466

Je vais répondre aux questions suivantes :
1- Quelle est l’objet de la démarche de M. Salomone dans la demande d’AJ ?
2- Quelle est la pensée de M. Salomone quant au rejet des 4 demandes d’AJ datée par vous du 30.06 ?
3- Je terminerai en disant si je fais Appel ou non de ces décisions de la Notification, pourquoi, dans quelles conditions.

2)- Le principe de la demande de M. Salomone

M. Salomone n’a déposé de son fait qu’une seule demande d’AJ auprès du BAJ. C’est la demande d’AJ du 17 avril 2014 concernant la demande d’ouverture d’une enquête préliminaire déposée le 19 et 27 juillet 2012 auprès de M. le procureur de la République à Paris.

Cette demande n’est pas en cause dans la notification.

Dans tous les courriers adressés aux autorités (Pouvoir exécutif, législatif, Autorités judiciaires, Bâtonnier), M. Salomone n’a cessé de dire que seule cette demande importe à ces yeux.

3)- La raison des autres demandes
Les autres demandes de BAJ proviennent toutes de la façon avec laquelle la demande de M. Salomone a été traitée.
Elles sont induites par ces demandes et nullement comprises dans la démarche initiale de M. Salomone, la seule qu’il conduise de son propre chef.

4)- Les faits
Le BAJ cite 5 demandes d’AJ. Ces 5 demandes portent sur des faits construits par les interlocuteurs administratifs ou judiciaires de M. Salomone.

Je laisse de coté celle du 16.07.14.

Quatre des rejets portent sur des demandes d’AJ datée du 30 juin. Or, elles sont en réalité datées du 27 juin.

Je vais reprendre chacune des quatre demandes d’AJ datée par vous du 30.06.2014 et les reporter au motif de leur rejet.

5)- La plainte du 10 juin accompagnée de la demande d’AJ n°: 2014/034867, déposée le 27 juin et datée par vous du 30.06.

1- La plainte
Le 10 juin 2014, j’ai déposé une plainte contre X pour faux et usage de faux en écriture publique.

« 1- La plainte du 10 juin 2014
 Le 29 avril 2014, le bureau d’aide juridictionnelle (BAJ) m’adressait une « Attestation de dépôt de demande d’aide juridictionnelle » (AJ).
Il y était écrit : « A déposé le 17.04.2014 une demande d’Aide juridictionnelle, pour une procédure contre : PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE ». Ce qui est constitutif d’un faux.
J’ai déposé une plainte auprès de M. le procureur de la République, le 10 juin.
2- Le regroupement
Cette demande d’AJ pourra sans doute être regroupée avec celle concernant la plainte du 24 juin 2014.
a- Celle-ci concerne un faux en écriture publique dans l’Avis de Classement rendu par M. le procureur de la République.
b-Dans les deux cas, la réponse des magistrats et services concernés est le faux en écritures publiques
c- La demande d’AJ visée par la plainte du 10 juin et l’Avis de classement visé par la plainte du 24 juin concernent tous deux la même affaire. Il s’agit de la demande d’ouverture d’une enquête préliminaire déposée le 19 juillet 2012 et rappelée le 3 février 2014. »

2- L’attestation du 3-4 juillet 2014
Numéro BAJ : 2014/034867
 « a déposé le 30/06/2014 une demande d'aide juridictionnelle, pour une procédure contre : néant »

3- Rejet du 11.09.14
Numéro BAJ : 2014/034867
Date de la demande : 30/06/2014
Pour obtenir l'aide juridictionnelle dans la procédure suivante : (code procédure)
Contre: x
CONSTATE :
Que l'action est manifestement dénuée de fondement
Qu’en effet, l’intéressé ne produit pas d'élément permettant de soutenir la procédure dont l'objet n'est pas clairement précisé ;

EN CONSÉQUENCE :
Rejette la demande d'aide juridictionnelle.

4- Question au BAJ
a- Le motif de l’AJ
M. Salomone n’invente pas la formule :
« a déposé le 17/04/2014 une demande d’aide juridictionnelle pour une procédure contre : PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE ».
C’est un faux en écriture publique.

b- L’argument du BAJ
Par quel raisonnement le BAJ conclut-il que « l’objet n’est pas clairement précisé » ?
De quel droit interdit-il son examen par la justice en refusant la présence d’un avocat ? C’est illégal.

6)- La plainte du 24 juin accompagnée de la demande d’AJ n°: 2014/034868, déposée le 27 juin et datée par vous du 30.06.

1- La plainte
Le 24 juin, j’ai déposé une plainte contre X pour faux et usage de faux en écriture publique.

« 1- La plainte du 24 juin 2014
Le 30 mai 2014, M. le procureur de la République m’adresse un Avis de classement. Il est posté le 4 juin et reçu le 11 juin.
Toute l’argumentation repose sur les conclusions d’une « enquête ».
Or, tout laisse penser que celle-ci n’a jamais eu lieu.
Ce qui est constitutif d’un faux et usage de faux en écritures publiques.
J’ai déposé plainte le 24 juin 2014
2- Le regroupement
Cette demande d’AJ pourra sans doute être regroupée avec celle concernant la plainte du 10 juin 2014, ci-jointe.
a- Celle-ci concerne un faux en écriture publique dans une « Attestation de dépôt de demande d’aide juridictionnelle »
b-Dans les deux cas, la réponse des magistrats et services concernés est le faux en écritures publiques
c- La demande d’AJ visée par la plainte du 10 juin et l’Avis de classement visé par la plainte du 24 juin concernent tous deux la même affaire. Il s’agit de la demande d’ouverture d’une enquête préliminaire déposée le 19 juillet 2012 et rappelée le 3 février 2014. »

2- L’attestation du 3-4 juillet 2014
Numéro BAJ : 2014/034868
« a déposé le 30/06/2014 une demande d'aide juridictionnelle, pour une procédure contre : néant »

3- Rejet du 11.09.14
Numéro BAJ : 2014/034868
Date de la demande : 30/06/2014
Pour obtenir l'aide juridictionnelle dans la procédure suivante : (code procédure)
Contre: x
CONSTATE :
Que l'action est manifestement dénuée de fondement
Qu’en effet, l’intéressé ne produit pas d'élément permettant de soutenir la procédure dont l'objet n'est pas clairement précisé ;

EN CONSÉQUENCE :
Rejette la demande d'aide juridictionnelle.

4- Question au BAJ
M. le procureur de la République adresse un Avis de classement.
Cet Avis contient un faux contre lequel je porte plainte et je demande un avocat pour cette plainte.
L’Avis est un fait judiciaire incontestable. La plainte est fondée sur le constat que « l’enquête » citée dans l’Avis est un faux.
En quoi est-ce infondé ? En quoi « l’objet n’est pas clairement précisé » ?

Il n’appartient pas au BAJ de déterminer si l’enquête est un faux ou non. Le BAJ n’est pas un organisme judiciaire.
De quel droit interdit-il son examen par la justice en refusant la présence d’un avocat ? C’est illégal.

7)- L’Appel du 24 juin accompagnée de la demande d’AJ n°: 2014/034869, déposée le 27 juin et datée par vous du 30.06.

1- L’Avis
« Le 30 mai 2014, M. le procureur de la République m’adresse un Avis de classement. Il est posté le 4 juin et reçu le 11 juin.
Cet Avis repose sur un faux.
J’ai fait Appel le 24 juin de cet Avis et j’ai déposé une QPC.
2- Le regroupement
Cette demande d’AJ pourra sans doute être regroupée avec celle concernant la QPC déposée 24 juin 2014 auprès de M. le procureur général.
La QPC fait l’objet d’un texte séparé et est inscrite dans l’Appel. »

2- L’attestation du 3-4 juillet 2014
Numéro BAJ : 2014/034869
a déposé le 30/06/2014 une demande d'aide juridictionnelle, pour une procédure contre : néant

3- Rejet du 11.09.14
Numéro BAJ : 2014/034869
Date de la demande : 30/06/2014
Pour obtenir l'aide juridictionnelle dans la procédure suivante : (code procédure)
Contre: x
CONSTATE :
Que l'action est manifestement dénuée de fondement
Qu’en effet, l’intéressé ne produit pas d'élément permettant de soutenir la procédure dont l'objet n'est pas clairement précisé ;

EN CONSÉQUENCE :
Rejette la demande d'aide juridictionnelle.

4- Question au BAJ
M. le procureur de la République adresse un Avis de classement.
M. Salomone fait Appel auprès de M. le procureur général.
Au nom de quoi le BAJ s’interpose t’il dans une procédure d’Appel pour l’interdire ?

De quel droit interdit-il son examen par la justice en refusant la présence d’un avocat ? C’est illégal.

8)- La QPC du 24 juin accompagnée de la demande d’AJ n°: 2014/034870, déposée le 27 juin et datée par vous du 30.06.

1- La QPC
« 1- La QPC
Le 30 mai 2014, M. le procureur de la République m’adresse un Avis de classement. Il est posté le 4 juin et reçu le 11 juin.
Cet Avis repose sur un faux.
J’ai fait Appel de cet Avis et j’ai déposé une QPC.
2- Le regroupement
Cette demande d’AJ pourra sans doute être regroupée avec celle concernant l’Appel déposé 24 juin 2014 auprès de M. le procureur général.
La QPC fait l’objet d’un texte séparé et est inscrite dans l’Appel. »

2- L’attestation du 3-4 juillet 2014
Numéro BAJ : 2014/034870
« a déposé le 30/06/2014 une demande d'aide juridictionnelle, pour une procédure contre : néant »

3- Rejet du 11.09.14
Numéro BAJ : 2014/034870
Date de la demande : 30/06/2014
Pour obtenir l'aide juridictionnelle dans la procédure suivante : (code procédure)
Contre: x
CONSTATE :
Que l'action est manifestement dénuée de fondement
Qu’en effet, l’intéressé ne produit pas d'élément permettant de soutenir la procédure dont l'objet n'est pas clairement précisé ;
EN CONSÉQUENCE :
Rejette la demande d'aide juridictionnelle.

4- Question au BAJ
M. le procureur de la République adresse un Avis de classement.
M. Salomone dépose une QPC auprès de M. le procureur général.
Au nom de quoi le BAJ s’interpose t’il dans une procédure de QPC pour l’interdire ?

De quel droit interdit-il son examen par la justice en refusant la présence d’un avocat ? C’est illégal.

9)- Bilan
Je fais Appel aux fins que le BAJ puisse répondre aux questions qui lui ont posées.



M. le procureur de la République a produit un Avis de classement pour le texte du 3 février qui est uniquement un texte de débat moral et ne contient aucun fait susceptible d’être confirmé ou infirmé par une enquête.

Si M. le procureur de la République a constaté que le texte visé par lui ne contenait aucun fait susceptible d’une enquête puisqu’il s’agit d’un simple débat d’idée, alors les plaintes pour faux en écriture publique au sujet de l’enquête, appel, QPC et AJ deviennent obsolètes.

Si le BAJ reconnait les droits de M. Salomone à bénéficier de l’AJ comme demandé le 17 avril 2014, alors la plainte et l’AJ concernant l’Attestation du 29 avril 2014 sont caducs.

Je le redis, la seule AJ qui m’intéresse et qui soit de mon initiative est celle du 17 avril 2014.

Deuxième partie : La lettre de Mme la Ministre

1)- La lettre de Mme Rouy-Fazi
J’ai reçu le 18.09 la lettre de Mme Rouy-Fazi, au nom de Mme la Ministre, datée du 15.09, avant celle du BAJ.

Mme le Chef du bureau de l’AJ me dit :

- « Par courrier en date du 6 juin 2014, vous avez bien voulu appeler l'attention de Madame la Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, sur vos difficultés relatives à l'obtention de 1'aide juridictionnelle.
Après avoir pris contact avec le Bureau d'aide juridictionnelle prés le Tribunal de Grande Instance de Paris, il m'a été indiqué que votre dossier sera prochainement examiné.
La décision vous sera notifiée ultérieurement. »

Les décisions du BAJ ont été prises le 11 septembre alors que Mme Le Chef du bureau me dit que le 15 septembre le dossier n’est pas encore « examiné ».

Mme la Chef du bureau me dit que je serai averti « ultérieurement » par une décision à venir alors que la Notification est déjà sur le départ.

Il y a manifestement eu entente entre le Ministère et le BAJ. Des décisions ont été prises qu’on refuse de me communiquer bien qu’elle me concerne. Au vu des incohérences entre ces textes, j’ai donc tout lieu de craindre de nouvelles manœuvres.
J’ai un droit constitutionnel à une administration honnête.
2)- Le mobil de ces manœuvres

1- La fausse piste
Les 19 et 27 juillet 2012, une demande d’ouverture d’une enquête judiciaire est déposée. C’est cette demande qui entraine la demande d’une aide juridictionnelle afin que M. le procureur de la République ait un avocat comme interlocuteur.

Le nom de M. Sarkozy apparait dans le sujet de cette demande

Est-ce pour ne pas porter tord à ce personnage que les uns et les autres se livrent à des manœuvres qui retardent la nomination d’un avocat ?

Il n’en est rien.

Les « affaires » s’accumulent au sujet de M. Sarkozy. Aucune n’aboutit mais elles se multiplient, se renouvellent, s’enchainent.
a- Des journalistes du journal Le Monde et du site Médiapart se sont publiquement installés comme enquêteurs à plein temps contre M. Sarkozy.
b- Les magistrats donnent une suite judiciaire à chacune de leurs découvertes.
c- La dernière mise en examen de M. Sarkozy découlent de la prise en compte antérieure par les magistrats des informations produites à tord ou à raison par ces journalistes.

La mise en examen de M. Sarkozy n’impressionne en rien les magistrats. Il a déjà été mis deux fois en examen en deux ans.

Alors d’où vient le problème ?

2- Le viol
La première source de problème vient du viol. Cette demande d’enquête porte sur un viol.

J’ai été violé deux fois, je sais d’expérience que l’ensemble des personnels d’Etat a un gros, un très gros problème, avec le viol.

On cherche à me refuser l’AJ pour qu’un avocat prenne part à une discussion concernant le viol d’une députée du fait de l’exercice de ses fonctions par un chef d’Etat du fait de l’exercice de ses fonctions.

a- C’est la même solidarité judiciaire, avocassière, administrative, au cas où le viol se fait par des commerçants propriétaire sur un ouvrier communiste et homosexuel de 40 ans à Vallauris en 1987.
b- C’est la même solidarité judiciaire, avocassière, administrative, au cas où le viol et les tortures aux fins d’obtenir le retrait des plaintes se font par des officiers de police judiciaire sur un smigard qui défend des handicapés mentaux contre l’association de malfaiteurs constituée entre des officiers de police judiciaires et des voyous que les premiers veulent installer dans l’appartement des handicapés pour asservir ceux-ci et créer ainsi une base en ville aux voyous. En 2000 à Paris, Affaire Jukic.

1- Désormais, les personnels d’Etat :
a- Ont appris à condamner le viol de divertissement, de dépravation, de désordres publics.
b- Ils maîtrisent l’examen du viol qui vise à assurer la domination des hommes comme groupe sexué sur les femmes comme groupe sexué. Un kinésithérapeute reconnue vient de prendre 10 ans fermes pour n’avoir pas saisi le changement d’époque.

2- Le même personnel d’Etat ne sait pas examiner le viol d’asservissement, celui qui consiste à poinçonner, marquer, signer, une puissance publique de fait sur le corps d’un asservi de fait.

C’est le cas dans le viol de la députée par le Chef de l’Etat. C’est le Pouvoir exécutif qui imprime sa supériorité sur le Pouvoir législatif.

C’est pour ça que M. le procureur de la République et M. le Président du BAJ ont peur de l’arrivée d’un avocat dans ce débat.

a- Ils ne craignent absolument pas de participer à la convocation de M. Sarkozy en justice. Ils l’ont déjà fait à plusieurs reprises.
b- Ils ont peur d’avoir à examiner le viol d’asservissement.

2- La ségrégation
Le second problème vient de ce que cette fois-ci la question est posée par un ouvrier retraité pauvre.
Sa pauvreté est certifiée par sa demande d’AJ. Elle l’implique.

Feu le comique Desproges disait : « on peut rire de tout mais pas avec n’importe qui. »

Pour M. le Vice-Président du Tribunal de Grande Instance (TGI) ou M. le procureur de la République, il est possible de discuter de tous les faits et gestes du Président Sarkozy, durant l’exercice de ses fonctions, mais pas avec n’importe qui.

Je note au passage, que lorsque M. Salomone a déposé sa demande, le 19 juillet 2012, les mêmes magistrats et journalistes expliquaient que l’immunité présidentielle couvrait absolument tous les actes de l’activité et de la vie du Chef de l’Etat.

J’ai la faiblesse de croire que mes argumentations n’ont pas été pour rien dans les évolutions du droit à ce sujet.

En tout cas, il est impossible pour les magistrats de concevoir de discuter de ces faits avec un avocat représentant un pauvre. C’est salissant.

J’insiste sur le fait que de la part des magistrats et auxiliaires de justice c’est le cas même quand le pauvre est personnellement l’objet du viol d’asservissement.

C’est de la ségrégation. C’est évidement illégal et inconstitutionnel. C’est une violation flagrante du principe d’égalité.

Conclusion
M. le Président, je demande juste l’AJ déposée le 17 avril 2014. Elle m’est de droit.

Je ne vois pas comment l’Etat français peut refuser à un avocat le soin de discuter avec M. le procureur de la République des informations produites par Mme Guillaume dans son livre Le Monarque, son Fils, son Fief.

Je rappelle que personne, absolument personne, n’a démenti les informations de Mme Guillaume ; pas même les intéressés.

Je sais que personne n’ose nier publiquement mon intérêt à agir puisque cela correspond à la jurisprudence de l’intérêt à agir dans l’intérêt général ;

Pour l’Appel des décisions du 12 septembre, je m’en remets à votre sagesse.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président du Bureau d’aide juridictionnelle, l’assurance de ma parfaite considération,


Marc SALOMONE

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