mardi, septembre 03, 2013

omerta, procureur, Sarkozy, Meyers-Bettencourt, Strauss-Kahn, inégalités, justice, malades mentaux, handicap.

omerta, procureur, Sarkozy, Meyers-Bettencourt, Strauss-Kahn, inégalités, justice, malades mentaux, handicap.

madic50.blogspot.com

d.50@gmx.fr


Paris, le mardi 3 septembre 2013




Monsieur le procureur de la République à Paris




Objet : Omerta et inégalités devant la justice

Copie à :

Monsieur le Président de la République

Monsieur le Premier Ministre

Madame la Garde des Sceaux

Monsieur le Ministre de l'intérieur

Monsieur le procureur général à Paris

Monsieur le procureur de la République à Lille

Madame la procureuse de la République à Bordeaux

Monsieur FILLON Député Premier Ministre honoraire





Monsieur le procureur de la République

Partie 1 : Les justiciables valides

Le parquet de Bordeaux ouvre une enquête pénale contre Mme Meyers-Bettencourt. Celle-ci a prêté une somme d'argent à la comptable de sa mère, Mme Thibout. Cette femme est un témoin clé des malversations qui auraient pu avoir lieu dans l'entourage de Mme Bettencourt mère pour la spolier. Par effet de retour, une mise au jour d'un pacte de corruption entre Mme Meyers-Bettencourt et Mme Thibout, visant à acheter le bavardage de l'une au bénéfice des préoccupations de l'autre, servirait la cause des personnes Mises en examen dans cette affaire. Dont M. Sarkozy.

Ainsi, il y avait l'opposition du traitement bruyant de l'affaire Strauss-kahn par le parquet de Lille et de l'omerta de l'affaire Sarkozy à Paris.
Il y a maintenant l'opposition du traitement bruyant de l'affaire Meyers-Bettencourt par le parquet de Bordeaux et de la même omerta sur l'affaire Sarkozy à Paris.

Dans les deux cas, des personnalités importantes sont l'objet d'enquêtes pénales, voire plus dans le cas de M. Strauss-kahn.
Ces affaires sont en corrélation chacune avec M. Sarkozy :
a- Soit par l'identité des fautes reprochées, telle l'accusation d'usage de prostituées et le fait de proxénétisme.
b- Soit parce que l'enquête pénale visant Mme Meyers-Bettencourt sert les intérêts de M. Sarkozy dans une affaire qui lui vaut d'être mis en examen.

J'ai analysé, précédement l'inégalité devant la loi dont bénéficie M. Sarkozy à Paris à l'aune de l'action judiciaire visant M. Strauss-kahn à Lille.
Cette justice lilloise ne moblise pas seulement la procédure et ses instances. Un Premier avocat général à la Cour de Cassation intervient au titre de la société civile dans la procédure pour faire condamner M. Strauss-kahn. Par le silence de son association, l'Eacp, sur l'affaire similaire qui concerne M. Sarkozy, il accrédite l'évidence de l'innocence de ce dernier. Paris sait intervenir à Lille et organiser le silence à Paris.

J'analyse ici les rapports de l'ouverture d'une enquête pénale visant Mme Meyers-Bettencourt et du silence judiciaire sur la criminalité de M. Sarkozy inférée par l'information accusatrice donnée par Mme Guillaume.

Je ne me soucie nullement de l'affaire dite Bettencourt. Je n'en examine certains aspects que mesurer l'action judiciaire à Bordeaux à celle concernant l'affaire Sarkozy à Paris.
Le fait que M. Sarkozy soit mis en examen à Bordeaux dans l'affaire dite Bettencourt met en valeur l'omerta dont il bénéficie dans l'affaire Sarkozy à Paris.

Cette mise en examen à Bordeaux et cette omerta à Paris de M. Sarkozy attire notre attention sur la place de l'enquête pénale visant Mme Meyers-Bettencourt à Bordeaux.

Mme Meyers-Bettencourt est soupçonnée d'avoir passé un pacte de corruption avec un témoin pour éloigner par voie de justice un certain nombre de personnes de l'entourage de sa mère. Elle les accusait en quelque sorte de vider les poches de celle-ci.

L'indice de ce pacte serait le prêt par Mme Meyers-Bettencourt d'une somme de 300 000 euros à Mme Thibout, devant notaire, en novembre 2012

Les préoccupations de Mme Meyers-Bettencourt ont conduit auparavant au pacte familial public par lequel la direction des finances de Mme Bettencourt mère qui sont en partie celles de l'entreprise Loréal sont confiées à Mme Meyers-Bettencourt et fils. Mme Bettencourt ayant fait valoir ses volontés caritatives.

Je ne peux que suivre dans le journal les évolutions d'une action judiciaire pour une affaire qui ne concerne pas ma réflexion. Par contre je peux me poser la question suvante :
Qu'en est il de la valeur morale publiquement compréhensible des actions des protagonistes de l'affaire Bettencourt ?
C'est intéressant pour apprécier l'omerta qui pèse à Paris sur l'affaire Sarkozy.

Les médias étant notre seule source d'information, voyons d'abord la valeur morale de l'action de Mme Meyers-Bettencourt sur laquelle la justice porte ses soupçons accusateurs au point de voir dans son action la commission d'une éventuelle faute pénale ?

Mme Meyers-Bettencourt n'a agit que pour éviter, à tord ou à raison, la spoliation de la famille par des étrangers à celle-ci. Elle n'a rien fait d'autre. Elle n'a traité aucune affaire, n'a obtenu aucun enrichissemet ni aucun avantage autre que celui d'interdire la sortie de fonds familiaux vers des personnes étrangères à la famille.

Il y a une lecture banale des faits qui retiennent l'attention de la justice.

Le fait qu'elle fasse un prêt à une collaboratrice de sa mère dont la détresse est publique puisqu'elle a fait l'objet de reportages peut très bien être considéré comme le soutien moral à une serviteuse de la famille.

Mme Thibout a dénoncé son supérieur hiérarchique. Celui-ci l'a viré. Elle a perdu sa réputation professionnelle. Elle est ruinée. C'est plausible.

Un prêt, par nature remboursable, de 300 000 euros par une Meyers-Bettencourt à une cadre salariée n'a rien d'exorbitant. On n'est ni dans le chantage, ni dans le dû, ni dans l'achat d'une parole ou d'un silence.

La formule du courrier de Mme Meyers-Bettencourt à Mme Thibout, le 11 juillet 2007 «  Nous sommes sensibles à votre engagement de nous apporter, le moment venu, votre concours et nous vous en remercions » est la formulation ordinaire de Maître à domestique, de Chef à subalterne, d' Hommes d'Etat à fidèle, de Seigneur à féal. Les œuvres d'un de Gaulle en contiennent des pages entières. Elles valent des légions d'honneur pour leurs destinataires.

Mme Thibout a bien servie la Maison Bettencourt. L'a t'elle servie sur ordre ? C'est semble-t-il ce que la justice veut savoir. Mme Meyers-Bettencourt a eu à répondre sur ce sujet le 17 juillet 2013 à la brigade financière de Paris.

Nul n'est censé agir en infraction avec la loi. C'est tout le délicat équilibre de la légitime défense. De l'héroïsme au crime, il n'y a que l'espace d'une interprétation judiciaire.

Or, c'est bien de cela dont il semble s'agir. Mme Meyers-Bettencourt a pensé que la fortune familiale était en danger. La fortune c'est un peu plus que l'argent. C'est la possibilité de faire face aux responsabiltés qui ont échu à cette famille. Ce qui constitue leur monde.

Par cette ouverture d'une enquête pénale le public peut croire que Mme Meyers-Bettencourt est une méchante femme prête à tout qui agresse des oies blanches. La mise au jour d'un pacte de corruption entre « la » Meyers-Bettencourt et « la » Thibout, pourraient enfin faire reconnaître la bonne foi et le bon droit des victimes de ces deux ogresses. Ces gens qui sont mis en examen dans cette affaire ont déposé plainte pour faux témoignage.

La presse nous dit : A quelques semaines de la décision des juges d'instruction bordelais, chargés de décider d'éventuels renvois devant le tribunal pour abus de faiblesse ou au contraire de non-lieux, cette audition tombe à pic pour les mis en examen, à commencer par Niolas sarkozy.
L'avocat de Mme Meyers-Bettencourt nous dit qu'une presse veut : "voler au secours" de MM. "Banier, Maistre, Woerth et consorts"

Il y a bien là la mise en perspectives de deux camps. Celui de Mme Meyers-Bettencourt et celui des étrangers à la famille.

Chacun remarquera que ce sont ces gens cités par les connaisseurs du dossier qui sont venus chez Mme Bettencourt mère et non pas Mme Meyers-Bettencourt qui est allé chez eux.

Mme Meyers-Bettencourt aurait elle pris des mesures hors la loi pour les chasser du temple ? La justice le dira.

Mais qui a t'elle chassé ? Sont ce des oies blanches ?

Il n'est pas inintéressant quand on met en cause une mère de famille qui veut défendre sa mère contre ce qu'elle pense être des prédateurs de connaître un peu à qui elle a affaire.

Encore une fois, cela ne donnera pas le résultat de l'enquête sur la licité ou non des pratiques de combat de Mme Meyers-Bettencourt, mais cela nous permet de comprendre entre qui a lieu la lutte.

Je n'ai aucun renseignement public sur MM. Maistre et Worth.

Ceci nous conduit à l'examen de la moralité décelable publiquement du principal protagoniste de l'affaire Bettencourt, M. Banier.

Nous disposons d'éclairages publics sur M. Banier.
Celui-ci est le principal souci de la famille Bettencourt. C'est à partir de lui que la maîtrise de la famille sur sa fortune a été perçue comme mise en danger.

a- Un journaliste nous a appris que la presse anglo-saxone fait état de relations homosexuelles entre M. Banier et M. Bettencourt père, le mari de Mme Bettencourt mère.

L'homosexualité de M. Banier semble attestée par l'information de presse selon laquelle M. Banier aurait dit en Garde à vue à un inspecteur : « Vous avez un beau cul, M. l'inspecteur».



La censure opérée par la presse française rendait incompréhensibles les liens particuliers de Mme Bettencourt et de M. Banier. Elle l'a couvert d'or au point que sa fille a décidé de passer un coup de torchon.

Pourquoi lui a t'elle donné tout cela ?
Avec la presse anglo-saxone, nous comprenons que l'amour de la vie de Mme Bettencourt est son mari, M. Bettencourt. Mme Bettencourt aurait ainsi continué de vivre cet amour au travers de M. Banier.
En somme, la famille aurait considéré que si le souvenir n'a pas de prix, il commençait à avoir un coût excessif.
La presse française a préféré nous raconter la fable d'un artiste photographe à la conversation enchanteresse persécuté par une fée carabosse inculte.

b- Cela ne nous dit pas qui il est moralement.
L'image de l'artiste victime de la jalousie de la famille de sa mécène qui ne comprend rien à l'art ni aux passions intergénérationnelle paraît en tout cas passer à coté du personnage.
Le Canard Enchaîné du mercredi 31 juillet 2013, P. 4, consacre un article à M. Bannier. « Balade estivale sur les terres du seigneur Banier, duc de Provence. »
Le titre humoristique bien dans le style du journal donne un étonnant aperçu du personnage. M. Banier ne peut se plaindre de la rudesse des mœurs aristocratiques et propriétaires. Il est quant à lui un hobereau de la pire espèce.
1- Il méprise la population
a- L'ex- Maire de Brouzet -lès-Quissac, Gard :
- «  Il ne voulait même pas voir les maisons en crépie des voisins lorsqu'il se baladait. Il me disait : « Mais vous avez vu ces horreurs ? »
b- M. Feuillade, voisin :
- « On a envoyé balader son gardien qui était venu chez nous avec une dizaine de cyprès dans une remorque. Banier voulait qu'on les plante sur notre terrain pour ne plus nous voir de loin. ».
2- Un problème de légalité
Le Canard Enchaîné n'a jamais été pris en défaut quant à ses informations. Celles-ci donnent de M. Banier une toute autre image que celle de l'oie gavée à l'insu de son plein gré.
Outre la méchanceté teintée de sadisme, qu'on rencontre chez d'autres homosexuels enrichis et au tempérament dit artiste, M. Banier entretient avec la légalité des rapports compliqués et même d'ordre judiciaire en ce qui concerne ses capacités de corruption. Sauf erreur du journal.
Etonnamment personne n'y trouve à redire.

Les magistrats considèrent que le fait qu'une des principales industrielles françaises prête devant notaire une somme à une ancienne collaboratrice est suffisament soupçonnable pour qu'une enquête pénale soit ouverte visant un possible pacte de corruption. Soit.

Par contre, les magistrats ne sont ni saisis ni ne se saisissent du fait que M. Banier obtienne:
1- Par moyens de fêtes, de relations personnelles sans fondements professionnels, l'inscription à l'inventaire des monuments historique de sa propriété.
a- Ceci implique que le contribuable paie une partie des factures de l'entretien de la propriété de M. Banier.
Au moment où M. Banier fait la manche auprès de l'Etat, il est par ailleurs en train de recevoir progressivement 500M d'euros de la part de Mme Bettencourt mère. Si on en croit les médias, si Mme Meyers-Bettencourt n'y avait pas mis le holà, la mécanique de ses relations avec Mme Bettencourt mère aurait conduit M. Banier à aller vers l'encaissement de près d'un milliard d'euros.
b- La justice est fondée à s'interroger sur la signification du prêt de Mme Meyers-Bettencourt.
Il faudrait aussi que la justice s'enquière des arguments par lesquels M. Banier a fait classer cette propriété alors que cette possibilité avait échappé à ses précédents propriétaires.

2- Que l'architecte des Bâtiments de France, le préfet du Gard, le préfet de région, interdisent la construction d'un bâtiment utile de 180M2 situé à 400m des terres classées et visant au logement d'un vigneron dans ses terres.
Cette obstruction manifeste au bon fonctionnement d'une entreprise productive vise à satisfaire une politique de vanité spectaculaire. Qu'est ce qui peut la justifier à Zéro pour cent de croissance ?

3- Que les mêmes autorités autorisent :
a- La construction d'un mur d'enceinte inexistant jusqu'alors.
b- Le dépassement de toutes les limites fixées par les engagements écrits de M. Banier vis-à-vis des autorités en matière de construction.
c- La destruction d'une bergerie d'origine, alors que le Mas est classé et que cela inclut la fixation de tous les biens à 500m alentour.
d- La construction d'un bâtiment de 600M2 et 9M de hauteur en lieu et place de la bergerie. Ce, alors qu'il est refusé une construction professionnellement utile de 180M2.
e- La couverture administrative a postériori de toutes ces facéties juridiques.


f- On voit bien que les autorités interdisent le productif et couvrent l'improductif, pour satifaire la seule politique vaniteuse d'un particulier.

Comment se fait il que les autorités participent activement à une activité qui, si on en croit le journal, relève de la corruption, de l'abus de pouvoir, du parasitisme économique ?

Dans cette affaire, M. Banier ne capte pas les sous d'une vieille dame pleine de souvenir. Ils se ferait financer par le Trésor public. Il manipulerait aussi le personnel dirigeant de l'administration publique à son seul profit privé. Et cela nous concerne directement.

Le titre du journal perçoit bien les rapports juridiques qui se seraient noués entre cet homme et les autorités. Des rapports d'Ancien régime. Ils sont illégaux. La corruption des pouvoirs publics n'est peut être qu'un leurre, mais telle que le journal la met en scène, elle est aveuglante.

Pour prendre des renseignements rapide, précis, autorisés, il suffit au procureur de la République concerné de prendre contact avec M. Laurent Alberola, actuel Maire de Brouzet. Il a adressé une lettre à cet effet à M. le préfet de région, le 8 juillet 2008.

Pour ce qui nous intéresse, nous voyons bien que Mme Meyers-Bettencourt n'a pas affaire à des personnes naïves. Elle fait face à des esprits calculateurs, avides, sans scrupules.

Les magistrats le savent. Pourtant, ils ouvrent une « enquête pénale ». Soit.

L'affaire Meyers-Bettencourt n'entre pas dans mes préoccupations. Je ne discute pas du bien fondé de l'action des uns et des autres. La justice nous dira ce qu'il en est.

Sauf que la mise en œuvre des procédures par la justice doit être la même pour tous, toutes choses égales par ailleurs.

Or, je constate que :
a- Une femme qui défend sa mère, sa fortune, et celle de ses enfants, sa famille pour faire court, qui le fait contre des bêtes féroces, est l'objet d'une enquête pénale, terme déjà marquant envers le public.
b- Par contre, certains protagonistes dont des personnes dignes de foi rapportent qu'ils sont les acteurs d'actes manifestement malhonnêtes ou carrément criminels, bénéficient de l'omerta judiciaire.

ll y a là manifestement une inégalité devant la loi qui est l'objet de ma réflexion et de mon adresse à la justice.

Qui sont ces gens ?

a- M. Banier
Nous voyons bien que M. Banier à des comptes à rendre sur la gestion de ses rapports avec les cadres de la fonction publique qui s'occupent de l'attribution et de la gestion du titre de Monument historique.
Qui peut accepter qu'un particulier et des fonctionnaires jouent à la féodalité, empêchent un producteur de se vouer efficacement à son activité, alors que la France court après 0,1 point de croissance ?

b- M. Sarkozy.
J'ignore les implications de M. Sarkozy dans le dossier dit Affaire Bettencourt. Je ne m'en soucie aucunement.

Par contre, je demande depuis un an l'ouverture d'une enquête préliminaire relativement aux faits accusateurs rapportés par Mme Guillaume. Le recours aux qualifications de viol, proxénétisme, vol du Trésor public, détournement de fonds publics, viol du Pouvoir législatif, abus de pouvoir visant à créer un droit parallèle, sont nécessaires pour rendre compte du témoignage de Mme Guillaume.

La question est donc la suivante :
Mme Meyers-Bettencourt est l'objet d'une enquête pénale alors qu'il n'y a rien que de moral dans sa démarche.

Pourquoi M. Sarkozy n'est il pas l'objet d'une enquête préliminaire alors qu'il ne peut se prévaloir d'aucune moralité ? A moins que le fait de passer un marché proxénéte avec une députée (Tu me suces, je te donne ta subvention) soit considéré comme une norme institutionnelle par les magistrats.

Question subsidaire
a- Nous avons là deux cas de personnes de même rang social que M. Sarkozy. Soit par l'Etat. Soit par l'entreprise.
L'une de ces personnes dispose au moment des faits de la même garantie d'immunité de Chef d'Etat.
Ces deux personnes sont visées par des procédures judiciaires quand bien même les faits retenus sont apparemment moins graves que ceux allégués par le témoignage de Mme Guillaume sur M. Sarkozy.

b- La seule réponse judiciaire aux questions visant M. Sarkozy à Paris réside en une pure et simple Omerta. Quand il y a une audition judiciaire elle est délibérément et sur ordre sabotée par l'agent de la circulation chargé de prendre la déposition.

A qui fera t'on croire qu'un homme d'Etat qui s'est déclaré prêt pour diriger une seconde fois l'Etat ne peut pas rendre compte au juge et au Peuple d'actes criminels qui lui sont imputés par une cadre digne de foi ? Ces informations ont été reprises par une presse jamais prise en défaut dans ses informations. Elles n'ont jamais été démenties par les intéressés.

Au nom de qui cette Omerta ?

Partie 2 : Les justiciables handicapés

Nous avons vu que M. Sarkozy bénéficie de l'omerta dont ne profitent pas ses alter ego étatiques ou sociaux.

Qu'en est il de ceux qui sont à l'autre bout de la chaîne sociale ? Les plus vulnérables, les plus faibles, les plus pauvres. Les cotorep.

On vient juste de me rapporter une histoire vraie, actuelle, qui illustre parfaitement le statut acquis par les malades mentaux, celui de bestiaux de transactions sociales et étatiques.

Elle est l'exact parallèle chez les misérables des comparaisons chez les puissants entre les rapports de M. Strauss-kahn, Mme Meyers-Bettencourt, à la justice et des rapports de M. Sarkozy à cette même justice

Nous allons pouvoir observer la différence entre l'action judiciaire visant un malade mental et celle visant M. Sarkozy pour des accusations de qualifications similaires.

Les malades mentaux sont devenus un lieu de négociations, au moyen de l'association de malfaiteurs, entre les fonctionnaires d'Etat et les voyous, un lieu d'installation des voyous par la spoliation et l'asservissement des handicapés mentaux et autres personnes vulnérables.

Il est visible que :
1- les malades mentaux servent dans les prisons de mastic à la fabrication des statistiques de l'efficacité de l'Etat.


Quand on ne veut pas s'en prendre aux voyous, mais à des leurres, on remplit les prisons avec des malades mentaux. 30% des détenus sont des malades mentaux à leur arrivée. Ils sont dits malades mentaux par les psychiatres et les statistiques, mais officiellement, pour le public, ils sont les dangereux criminels écartés de la rue par la vigilance des agents de l'Etat.
Cqfd.

Je rappelle pour encore cette politique pénale relève de la jurisprudence de Nuremberg et du crime contre l'humanité.

2- Non seulement la manipulation publique des malades mentaux à des fins criminelles ne cesse pas, mais, depuis l'affaire de l'étudiant égorgé de Marseille, la presse nous a informé que les cas se sont multipliés. La manipulation de la folie de malades mentaux pour en faire des agresseurs publics est perceptible dans les récits des médias.

Ce ne sont pas les malades mentaux qui passent à l'attaque qui seraient plus dangereux qu'autrefois. C'est la politique de l'Etat qui par la doctrine criminelle de l'incarcération des malades mentaux organise ceux-ci comme un lieu de négociations entre l'Etat et les voyous. Il est visible que les milieux maffieux et factieux, des banlieues et d'ailleurs, ont compris le message 5/5.

Je n'avais encore jamais touché du doigt la diffusion sociale de cette politique. Comment se diffuse t'elle au sein de la population ?

Cette histoire permet de visualiser la circulation de pouvoirs que donne la transformation des malades mentaux en lieux publics de négociations étatiques.

Elle est vérifiable dans le respect du débat contradictoire, ce qu'on appelle ailleurs le respect de la personne humaine.

Voici l'histoire :
Un jeune homme passé la vingtaine téléphone depuis l'Alsace à son demi-frère, quarante ans, logé à Paris. Ils sont tous deux du Nord. Leur mère commune est décédée. Les pères, sont oubliés.
L'appelé a passé sa jeunesse en famille d'accueil, excellente d'ailleurs. Il est vulnérable. Sa femme est à la Cotorep pour handicap mental. Ses quatre enfants sont placés. Il bénéficie à plein de l'Ordonnance de 1945.
Aux Etats-Unis sa famille n'existerait déjà plus.

L'appelant est un handicapé mental. Sa femme est une handicapée mentale. Ils sont à la Cotorep. Ils sont conscients de leur handicap.
Le décor est planté.

Le jeune homme raconte que depuis 4 ans il porte un bracelet électronique. Pourquoi ? Parcequ'il a été l'objet d'une plainte pour attouchement.
La dénonciation calomnieuse ça n'existe que pour les gens comme il faut.
Ici, de la part des policiers et magistrats vis-à-vis de ce monde, la dénonciation vaut condamnation.
Comme disent les syndicalistes parisiens de la gestapo psychiatrique : « On n'est pas ici par hasard. »
Je connais les avocats des pauvres. Ils sont contre leur client. C'est trop systématique pour ne pas être universel.
Il a eu 5 ans de bracelet électronique et de présentation hebdomadaire au commissariat. Ça fait quatre ans qu'il le porte et qu'il pointe.

L'accusation est venue de la fille d'un couple de voisin qui ne les aimaient pas.

Ce qui est intéressant, c'est que le jeune dise : Les voisins ont vu que nous n'étions pas normaux, handicapés. Ils ont profité de notre faiblesse. Nous ne sommes pas dans l'aveuglement mais dans l'habituelle constat résigné des personnes faibles et vulnérables.

Ce jeune homme a trouvé une embauche. Ce qui dans cette région aujourd'hui relève de l'exploit.

Les lois sur la délinquance sexuelles ont été faites sous le coup du lobbying des sectes dévotes américaines, anglo-saxones. Le principe est celui de l'épuration de la race, de l'élimination des pestiférés, de l'éradication du mal. Car le virus dont ces gens sont porteurs c'est Satan en personne.

En conséquence, comme au Moyen-age pour les lépreux et exactement pour les mêmes raisons, les condamnés sexuels doivent non seulement pointer au commissariat mais en plus déclarer leur anomalie judiciaire, leur bracelet électronique, à leur éventuel employeur.

Ce n'est plus le vote de lois. C'est la diffusion de formules incantatoires de démonologie.

Si les condamnés disent qu'ils ont un bracelet, Ils ne sont pas employés.
S'ils ne le font pas, ils ne peuvent présenter de certificat de travail aux policiers lors de tel contrôle.


Que font ils ? Par peur d'affronter la rage des policiers, ils ne vont pas au contrôle. Les policiers vont directement les chercher à l'entreprise. Le patron apprend qu'il a un employé qui a un bracelet. Il est viré sur le champ.

Le code du travail n'est pas fait pour les sous-hommes. Le Conseil constitutionnel vient de former une catégorie nouvelle de salariés serviles pour lesquels le code du travail ne s'applique pas. Les ordres de violer le droit et la constitution viennent de haut.

Pour aller en Allemagne, chercher des produits moins cher, il doit s'arrêter à tel lieu, sinon, comme ce fut le cas récemment, les policiers allemands le ramènent à son chenil.

Lorsque ce jeune homme dit qu'il considérait cette jeune voisine comme n'importe quelle autre jeune fille, il est crédible.

Les couples de handicapés mentaux, de personnes vulnérables, sont des couples soudés et moraux. On y prend les rapports entre homme et femme très au sérieux.

J'ai connu dans la rue un jeune homme, handicapé lui-même, qui acceptait que sa femme dans ses crises de nymphomanie parte à l'aventure chercher des hommes. Mais lui n'aurait jamais eu une aventure annexe sans lui en demander l'autorisation.

Tous les couples d'handicapés mentaux que je connais sont exigeants et loyaux l'un envers l'autre. Ça compte énormément pour eux.

C'est pourquoi je prends le récit de ce jeune homme pour argent comptant.

Ce jeune homme aurait pu être accusé de viol ou condamné à de la prison. Il n'a été retenu que cette accusation d'attouchement.

Cela permet de faire fonctionner un système public de distribution de séquences de pouvoirs :
a- La jeune fille n'a pas droit au viol. L'attouchement suffit à son statut social et celui de sa famille.
b- La condamnation étend le nombre de cas de mise en fonctionnement de la réinstallation du collier d'esclave appelé Bracelet électronique.

Ce collier a été réinventé aux Etats-Unis, le seul pays occidental ayant connu l'esclavage sur son sol. La Cour suprême a refusé de condamner l'esclavage en droit. Il a été condamné en fait par la guerre de Sécession.
En 1995, il y avait encore un Etat américain disposant d'un droit constitutionnel à l'esclavage.

Ce collier-bracelet a été réinventé pour contrôler les enfants, la première population esclave de l'humanité. Cette ruse d'installation du projet de restauration du collier d'esclave suffit à dire sa malhonnêteté.

Est-ce que le bracelet électronique est une résugence américaine du collier d'esclave ? Oui.

Cette affaire est la parfaite illustration de la fonction publique actuelle des malades mentaux :
1- Servir de diffusion de pouvoirs sans conséquences politiques. Ex : cette accusation d'attouchements.
2- Servir de lieu de confrontation sans conséquences politiques. Ex : l'égorgement de l'étudiant de Marseille.
3- Servir de lieu de négociations entre l'Etat et les voyous pour l'installation de ceux-ci. Ex : spoliation de l'appartement d'une famille de handicapés mentaux avec le soutien des officiers de police judiciaires et du Parquet.
4- Servir de mastic pour faire du chiffre carcéral. Ex : 30% des déténus sont des malades mentaux
5- Servir de mastic pour la mise en place de nouveaux systèmes esclavagistes. Ex : La diffusion de Bracelet électronique.
Les malades mentaux permettent, dans le plus total silence des médias, de multiplier les usages, de les prolonger, de jauger les niveaux de tolérance et de progressions possibles.
6- Servir de mastic à l'expansion de la politique des prohibitions.
a- Dans ce cas, il est possible de mettre en place la politique dévote.
b- Ailleurs, c'est la version éradication de la consommation de drogue qui peut être expérimentée sans débat médiatique ou associatif puisque l'action porte sur des malades mentaux.
Etc, etc, etc.

Ceci n'est possible que parce que les malades mentaux disposent d'un statut particulier devenu rare dans nos sociétés.

Les enfants ont le même statut public. C'est ce qui fait qu'aux Etats-Unis ils sont à ce point agressé par leur équivalent Etat. C'est aussi ce qui explique les assauts menés, sous pression américaine, pour la suppression, explicite ou non, de l'Ordonnance de 1945 qui protège, du fait de la Résistance et de la France-libre, les enfants de leur exploitation ancestrale par les agents de l'Etat.

Cette exploitation par les agents de l'Etat va de pair avec l'exploitatoin par les civils. Aux Etats-Unis, depuis que les agents de l'Etat se sont jetés sur les enfants pour engraisser les collègues du système carcéral et l'industrie privée du carcréral, dans les campagnes, l'exploitation des moins de 15 ans dans les plantations connaît un regain de faveur.

Ce statut particulier est le suivant. Les handicapés mentaux, même adultes, sont considérés comme appartenant de plein droit à la puissance publique, en raison de leur fragilité. Ils sont exclus de la vie publique et des débats publics.

En conséquence, tout ce qui leur est fait ne sera jamais discuté publiquement, Dès qu'ils sont reconnus malades mentaux, ils passent sous le main-mise des spécialistes de l'Etat. Cela s'appelle de la Protection.

Les femmes, les indigènes, les soldats, les détenus, ont bénéficié ou bénéficient toujours d'une telle protection.

A l'heure actuelle, les handicapés mentaux sont les seules populations civiles qui sucitent un tel vide autour d'eux, une telle unanimité pour les confier au personnel d'Etat, dès qu'ils sont reconnus tels.

Les fonctionnaires, les voyous et quelques autres ont parfaitement compris le bénéfice qu'ils peuvent en tirer pour mener à bien leurs stratégies publiques.

C'est en soi un crime.

Comme pour tous les « protégés », le terrain de la sexualité est par excellence le terrain où les handicapés mentaux sont en danger vis-à-vis des agents de l'Etat et des prédateurs civiles. Le principe est simple : dès qu'ils sortent du contrôle de leurs protecteurs, ils sont considérés comme en danger pour eux-mêmes et dangereux pour les autres. A partir de là, il suffit de délayer la sauce. Cqfd.

Ceci nous ramène à M. Sarkozy que nous n'avons jamais quitté.

Il est affirmé publiquement pas des pesonnes dignes de foi et il est facile de vérifier que M. Sarkozy a exigé d'une députée qu'elle le suce pour avoir sa subvention et aussi tout simplement parcequ'il le veut, qu'elle est une femme, qu'à ce titre elle est faite pour cela. C'est le Pouvoir exécutif qu'il insulte avec les femmes.

Donc, nous nous trouvons pour une même qualification de crime sexuel que pour ce malade mental. Plus les autres qualifications du dossier Sarkozy.

Pour un même type de qualification :
a- Un handicapé mental qui n'a aucun moyen de défense, méprisé par les juges, les voisins, les flics, les avocats, ignoré de la presse, doit répondre d'accusations sans fondements à des gens qui ne l'écoutent pas.
b- M. Sarkozy est lui-même avocat, Chef de l'Etat honoraire, forcément écouté avec attention par les magistrats, bien défendu par ses avocats. Il ne répond de rien à personne.

Je pense avoir montré au fil de mes courriers que le refus d'examiner les informations accusatrices de Mme Guillaume ne repose sur aucune raison de droit. Ce refus repose sur le seul arbitraire.

Je renouvelle ma demande d'ouverture d'une enquête préliminaire.

Je rappelle aussi qu'il y a la demande d'ouverture d'une enquête préliminaire concernant la subornation de témoin par la direction du Conseil régional d'Ile de France. Le public a cru comprendre que cette qualification intéressait les magistrats.

Je vous prie d'agréer, Monsieur le procureur de la République, l'assurance de ma considération distinguée,


Marc SALOMONE

PS : Depuis le 19 juillet 2012, date de la première demande d'ouverture d'une enquête judiciaire, j'ai déjà eu l'occasion de porter à votre connaissance des manœuvres policières pour m'attirer dans un traquenard.

Par conséquent, je vous prie, M. le procureur de la République de bien vouloir vérifier les numéros de téléphone suivants :
- 01,53,68,36,39, le 04,07,13, à 11h05
- 01,70,70,24,79, le 31,08,13, à 10h44.
Ces gens appellent, ne répondent pas, coupent.

L'annuaire inversé nous dit qu'il s'agit de numéro soit sur la liste rouge soit d'entreprise ; de commissariat par exemple.


Je sais d'expérience que c'est par ces repérages que se prépare la criminalité policière. 

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