samedi, septembre 22, 2012

Démocratie citoyenne et fascisme administratif


Démocratie citoyenne et fascisme administratif

1- Lettre à Mme la Garde des sceaux
2- Provocateur n°1
3- Provocateur n°2
4- Lettre à Mme la Garde des sceaux



Paris, le lundi 10  septembre 2012



 Christiane TAUBIRA
Garde des Sceaux,
Ministre de la Justice

Directeur du cabinet
M. Christian VIGOUROUX

Conseiller technique affaires réservées
M. Eric LAFONTAINE

13, place Vendôme
75042 PARIS CEDEX 01
Tel. : 01 44 77 60 60
Fax : 01.44.77.60.81




Madame la Ministre

Ce qui m’amène vers vous c’est le travail public de l’été. Des français ont porté à notre regard des crimes et délits de cadres politiques. Fallait-il ne pas les voir ? A partir de quand sommes nous complices et au-delà de quoi sommes nous indiscrets ?

Mon premier semble-t’il a violé une femme et violé la constitution. Mon second a mis en place un système de corruption départementale qu’il a transporté par sa personne au plus haut niveau de l’Etat. Mon troisième est une personne collective qui inclut Paris, la capitale. Les cadres honnêtes de cette collectivité territoriale appellent l’Etat à l’aide. Ils le font clandestinement, en refilant des informations à la presse. Ils agissent en dousdé, comme des passeurs de drogue. On aurait dit autrefois, des résistants. Mon quatrième est la police politique qui intervient en sous-main pour contrer une activité judiciaire.

La presse, voilà la coupable, Madame la Ministre. Sans elle, le grand public auquel j’appartiens n’aurait rien su de ces « agapes ». Je dénonce Canal+ et le Canard Enchaîné. Leurs informations sont d’autant plus pernicieuses qu’il y a toutes les chances pour qu’elles soient exactes. Personne n’ayant jamais pu les prendre en défaut de mensonges d’ordre judiciaire.
Les textes ci-joints invitent à poser les questions suivantes :

1- Faut-il censurer, ou instruire ? Eteindre ou éclairer ? L’Etat s’identifie t’il aux crimes de ses dirigeants? La démocratie s’affaiblirait elle à juger les crimes de ses représentants ?

2- Le viol, le proxénétisme, éventuellement le complot, ont-ils encore un sens dans le lieu d’un Pouvoir, le Pouvoir exécutif ? Doit-on remarquer que le viol d’une personne par le représentant d’un Pouvoir à des fins de violer l’autre Pouvoir, le Pouvoir législatif, est une faute constitutionnelle ? Le droit constitutionnel à t’il encore un sens après le Traité de Maastricht ? La France est-elle en deçà du Tiers-monde dans l’évolution des capacités du droit à passer outre l’idéologie de l’impunité totale que s’octroient les chefs des Pouvoirs exécutifs archaïques?

3- L’autre lieu de Pouvoir permet-il la substitution du code de procédure palermien des « frères » au code de procédure pénal français? La constitution d’un cercle vertueux entre un élu qui protège les affaires d’un affairiste et l’affairiste qui met sa fortune au service de la carrière de l’élu, ne regarde t’elle que les économistes de la réussite individuelle ? Un système d’échange réciproque est il autre chose qu’un Pacte de corruption ? Qui peut éviter que les affairistes réclament pour chacun ce qu’on accorde à l’un d’entre eux ? Comment refuser les fraternités des autres élus lorsqu’on persévère dans la sienne ?

4- Pourquoi, en France, la corruption, comme mode d’organisation entre les élus des différents partis, serait elle productrice d’efficacité dans les réalisations publiques, de droiture des comptes, de rejet de la maffia ? Nous savons qu’elle produit l’inverse dans des pays comparables comme l’Italie, et partout ailleurs dans le monde. Les lois de la corruption s’arrêtent elles aux frontières de la France, comme fort heureusement le nuage toxique de Tchernobyl? Qui l’Etat doit il soutenir ? Les honnêtes gens ou les corrompus ?

5- Est- il pertinent de laisser les bas-fonds de la police politique s’occuper des personnes qui posent des questions aux magistrats ? C’est répétitif. Organiser, produire, couvrir : l’enlèvement, la séquestration, la torture, pour l’obtention du retrait des plaintes, les faux en écritures publiques, comme mode de rapports écrits légaux, sont elles les seules actions que sont capables de conduire les élèves de l’école de la magistrature ?

En restant à votre disposition, je vous prie d’agréer, Madame la Garde des Sceaux, l’assurance de mes salutations distinguées,


Marc SALOMONE



PS : Documents joints

Demande d’ouverture d’une enquête préliminaire et articles de presse du :

1- Jeudi 19 juillet 2012
2- Article Canard Enchaîné du 4 juillet 2012
3- Vendredi 27 juillet 2012, Addendum
d- Lundi 6 août 2012
4- Article du Canard Enchaîné du 27.06.2012
5- Bien qu’ils n’aient factuelement aucun point commun.
6- Vendredi 17 août 2012-09-09
7- Article du Canard Enchaîné du 14 août 2012
8- Mardi 28 août 2012
9- Article du Canard Enchaîné du 22 août 2012
10- Mardi 28 août 2012. Police
11- Jeudi 30 août 2012
12- Article du Canard Enchaîné du 29 août 2012
13- Vendredi 7 septembre 2012
14- Article du Canard Enchaîné du 5 septembre 2012 

2- 

Paris, le mardi 28 août 2012


Monsieur le Procureur de la République

Suite aux demandes d’ouvertures d’enquêtes judiciaires que j’ai eu l’honneur de vous proposer, il se pourrait qu’on s’intéresse déjà à ma personne.

S’il devait m’arriver quelque chose, la justice serait bien avisée de commencer ses recherches par le numéro de téléphone : 06.51.54.96.27. Le propriétaire de ce numéro m’a appelé le lundi 27 août 2012, à 13h09, durant : 00 05 :28mn.

Ce Monsieur dit être plusieurs. Il dit qu’ils sont intéressés par ma plainte de 2007 au sujet de l’appartement de M. Sarkozy. Il dit qu’ils ont vu sur Internet que je faisais « des choses dans l’immobilier » et qu’ils font comme moi des « choses dans l’immobilier ». Il dit qu’ils veulent me rencontrer pour faire des « choses ensemble ». Avec insistance. Le but est de me rencontrer. Aucune crédibilité dans ce langage, ni comme militant, ni comme acteur d’un engagement réel. Je lui ai répondu qu’il lise ce que j’avais écrit sur Internet et qu’il me recontacte par mail. Il dit qu’il va mieux se renseigner et me rappeler. Je pense qu’il y aura des suites.

J’ai assez d’expérience pour reconnaître le déguisement du provocateur policier. Sans grand risque de me tromper. Il sera donc inutile d’avoir recours à la police pour enquêter si vous le jugez nécessaire. Elle serait juge et partie.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le procureur de la République, l’assurance de ma considération distinguée,

Marc SALOMONE

3- 
 


Paris, le 17 septembre 2012




N. Réf. :
Paris, le jeudi 19 juillet 2012
Paris, le vendredi 27 juillet 2012
Paris, le lundi 6 août 2012
Paris, le vendredi 17 août 2012
Paris, le mardi 28 août 2012




Monsieur le Procureur de la République

Ce jour, le 17 septembre 2012, à 16h28, durant 55secondes, depuis le numéro : 07.53.48.69.97, une personne m’a appelé en affirmant être intéressé par « votre annonce de vente de préservatifs parue sur Internet ». Il s’agit d’une annonce commerciale passée il y a plus d’un an, pour une marchandise détruite depuis plus d’un an également. Elle n’était pas certifiée. En même temps que j’ai passé l’annonce, j’ai consulté la dgccrf et la ddpp. Celles-ci ayant rendu un verdict négatif, la marchandise a été détruite sur le champ. C’est une escroquerie dont l’affaire est en cours. C’est long car j’agis par assurance juridique et je dois faire toute la préparation du dossier moi-même. Cela personne ne peut le savoir.

Les gestionnaires du site Internet en question ont rapidement retiré l’annonce puisqu’elle n’a plus été alimentée.

Pour connaître cette annonce un an après son annulation, il faut avoir des pouvoirs d’enquête sur ma personne que seules les institutions d’Etat possèdent.

D’une part, il y a une ou plusieurs enquêtes sur ma personne.

D’autre part, ces enquêtes ne visent pas à informer les autorités compétentes mais à organiser une activité barbouzarde, autrement dit : une activité administrative illégale et fasciste.

Déjà, le mardi 28 août, un provocateur policier m’avait téléphoné pour discuter de ma plainte « concernant « des choses dans l’immobilier ». Ses amis faisaient aussi des « choses dans l’immobilier ».

Je tiens un compte rigoureux de ces interventions. C’est en effet ainsi que procèdent les criminels administratifs d’Etat.

Ils téléphonent plusieurs fois pour situer la personne, la « loger », puis, avec l’accord criminel du procureur de la République, ils interviennent à l’heure du laitier dans l’appartement de la personne visée. Ils se font ouvrir en se présentant comme le facteur. Ils entrent alors en force.

Coups, terrorisme, menotage, enlèvement, faux en écriture publique et en réunion, psychiatrie. Enlèvement, séquestration, torture, retrait de plainte.

Le retrait de la plainte par le plaignant n’est que formel puisque le procureur de la République, complice, constatant que le plaignant n’est plus en état de se présenter, annule la plainte.

Dans ces agressions fascistes contre des citoyens français, les solidarités syndicales, administratives, judiciaires, sont totales. Les magistrats de la Cour de Cassation n’hésitent pas à pratiquer le faux en écriture publique. Les hommes du village peuvent montrer leur sexe à la demeurée, son regard est sans valeur.

Le système est connu. Les droits communs d’Etat ont des méthodes répétitives.
J’ai déposé trois demandes d’ouvertures d’enquêtes préliminaires. Il apparaît donc qu’on cherche à y répondre par les moyens ordinaires du fascisme administratif.

Le seul moyen de mettre fin à cet engrenage criminel est de donner une suite publique officielle à ces demandes. Les collègues fascistes, de droite ou de gauche, comme tous les criminels maffieux, n’aiment pas la lumière.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le procureur de la République, l’assurance de ma considération distinguée,

 Marc SALOMONE

4- 


Paris, le 17 septembre 2012




Christiane TAUBIRA
Garde des Sceaux,
Ministre de la Justice

Directeur du cabinet
M. Christian VIGOUROUX

Conseiller technique affaires réservées
M. Eric LAFONTAINE

13, place Vendôme
75042 PARIS CEDEX 01
Tel. : 01 44 77 60 60
Fax : 01.44.77.60.81





Madame la Garde des Sceaux,

Je vous prie de trouver ci-jointes les deux lettres que j’ai adressées à M. le procureur de la République.

Il se trouve que je connais bien la technique du crime qui se prépare.
Parceque j’ai eu à porter plainte pour viol et association de malfaiteurs contre des fonctionnaires de la police judiciaire alliés à des voyous civils contre des handicapés mentaux, j’ai déjà été violé, enlevé, séquestré, torturé, par des voyous de droit commun d’Etat, sous contrôle de M. le procureur de la République.

Je connais aussi la solidarité des syndicalistes dans le crime.

Je vous demande de mettre fin à cette entreprise fasciste en donnant suite aux demandes d’ouvertures d’enquêtes préliminaires que j’ai déposées. Qu’elles ne plaisent pas à tels ou tels ne suffit pas à entraver le cours de la justice.

Je vous prie d’agréer, Madame la Ministre, l’assurance des mes considérations distinguées,


Marc SALOMONE



 

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